11 février 2019

Paul Bocuse – né le 11 février 1926

Né dans une famille de cuisiniers    de père en fils, perpétuant la  tradition depuis le XVII° siècle et dans le même village, c’est tout naturellement que Paul Bocuse    prend la relève. Sa carrière    commence pendant la guerre    en tant qu’apprenti chez Claude Maret au Restaurant de la Soierie à Lyon. Il y apprend à faire le marché… noir. Il met cependant la cuisine entre parenthèses en 1944, date à laquelle il s’engage dans la  Distingué Meilleur ouvrier de France    en 1961, il obtient sa première étoile Michelin   , transforme l’auberge-guinguette de son père et se voit attribuer la deuxième étoile, un an plus tard. En 1965, la troisième étoile vient couronner le chef. Il rebaptise alors l’Auberge du Pont de Collonges de son nom, Paul Bocuse, dont la réputation devient internationale.

20 janvier 2018

Paul Bocuse, le « cuisinier du siècle », est mort

Le grand chef français, infatigable héraut du prestige tricolore et de sa propre renommée, est mort dans son sommeil, samedi 20 janvier à l’âge de 91 ans.


11 févier 1950

Création du SMIG

Le Salaire minimum interprofessionnel garanti  SMIG   entre en vigueur en France. Le nouveau dispositif impose le principe d’une rémunération minimale en dessous de laquelle aucun salarié ne peut être payé. Déterminé en fonction du budget type d’un ménage, le  SMIG  permet aussi de garantir un pouvoir  d’achat minimum aux ménages les plus modestes. A partir de 1952, le  SMIG  sera indexé sur les prix. Le 21 janvier 1970, il sera remplacé par le SMIC   (Salaire minimum interprofessionnel de croissance).

 

SAINTE HÉLOÏSE – NOTRE DAME de LOURDES

Nous fêtons HELOISE, mais aussi Doriane et Fedora. Héloïse est un dérivé de Louis. Cet ancien prénom germanique signifie la guerrière. Ses premiers sucès sont liés à l’histoire d’Héloïse et Abélard, au 11è siècle. Il resurgit au 18è siècle après le triomphe du roman de Jean-Jacques Rousseau La Nouvelle Héloïse. Actuellement il est rare.

NOTRE DAME de LOURDES

Le 11 février 1858 l’immaculée Conception apparut à une jeune fille pauvre de Lourdes, dans la grotte de Massabielle, au bord du Gave. Bernadette Soubirous n’avait que 14 ans, elle ramassait du bois lorsque la dame «  vêtue d’une robe et d’un voile blanc comme la neige » lui demanda de réciter le chapelet avec elle. 17 apparitions suivirent la première. Lourdes est depuis un lieu de pèlerinage.

 

 Le pruneau

Le pruneau a un poids moyen de 15 grammes. Il a un fort pouvoir antioxydant. Il est riche en fer. Il contient une forte concentration de sucres (glucose, fructose et sorbitol principalement), ce qui lui permet une longue conservation naturelle. Le calibre est un indicateur essentiel de la qualité intrinsèque du fruit : plus la prune était riche en sucres à l’état frais, plus le pruneau est gros et souple après séchage. Le calibre s’exprime par le nombre de fruits aux 500 grammes : plus le nombre est petit, plus les fruits sont gros. Le calibre déclaré sur l’emballage est une fourchette (par exemple 33/44 : 33 à 44 fruits par 500 grammes).

 

Recette

Pruneaux au vin de Bordeaux

Pour 4 personnes : 1 sachet de pruneaux à jeun – 4 tranches de magret de canard fumé – ½ l de vin rouge de Bordeaux – 50g de sucre roux – 1 zeste d’orange – 1 bâton de cannelle – 1 pincée de  muscade et autres épices (selon vos goûts) – 1 cuill à soupe d’Armagnac

Dans une casserole monter en température le vin avec le sucre et le zeste d’orange émincé finement.

Ajouter le bâton de cannelle, les épices et une quinzaine de pruneaux dénoyautés. Porter à ébullition puis laisser infuser 15 minutes.
Pendant ce temps monter les pruneaux en brochettes en enroulant 2 tranches de magret autour de chaque pruneau
Dans une poêle faire fonder un peu de graisse de magret puis faire dorer les brochettes. Poivrer au moulin.

Flamber à l’Armagnac (mettre le liquide, couvrir, laisser chauffer puis allumer en découvrant)
Mixer la soupe de pruneau au vin et servir en verrines avec les brochettes

 

 


Encore sous l’emprise de sentiments si forts, si grands, si puissants, Elayna ne voulait rien dire.

  • Alors ? insistait Adelyne.
  • Non pas pour l’instant. Je te promets, que je te raconterais, mais pas aujourd’hui. Je suis si bien.
  • Toi, tu es amoureuse.
  • Çà crève les yeux !
  • Oui, soupira Elayna.

X

XXX

A Lorient la troupe se dispersa. Seul Jean-Bernard et les deux photographes étaient venus de Paris en voiture. Les autres prenaient le train de quatorze heures trente.

Au cours de la traversée, Jean-Bernard avait convaincu Elayna et Adelyne de repartir avec lui en voiture. Elles avaient tout de suite accepté. La première partie du voyage, s’effectua dans un silence de cathédrale. Elayna enfoncée dans le siège passager de

« l’alpine Renault A106 » dormait, tout comme Adelyne calée à l’arrière. A Rennes, après avoir tourné en rond plusieurs fois devant le chez d’œuvre architectural qu’est le parlement de Bretagne, pour l’admirer.