29 janvier 2019
Les Marais Salants de Vendée
Autrefois, très importante dans le Nord-Ouest vendéen (Noirmoutier-en-l’ile, Bouin, Beauvoir sur Mer, Saint Hilaire de Riez et Les Sables d’olonne), la saliculture, ou culture du sel, ne réprésente aujourd’hui plus que quelques emplois. Toutefois, si dans les années 1980, la production de sel, dans les marais de noirmoutier semblait dépérir et vouée à l’abandon; les efforts conjoints du département de la Vendée et de la coopérative aquasel, à partir de 1992, ont permis de réhabiliter les exploitations et de redévelopper cette économie. Cette activité se pratique dans les Marais Salants qui sont en fait des bassins d’eau salée de faible profondeur, dans lesquels on récolte le sel, après évaporation de l’eau. L’évaporation de l’eau de mer est liée au soleil et au vent.
29 janvier 1635
Fondation de l’académie Français
Sous le règne de Louis XIII par le cardinal de Richelieu la première mission est d’enregistrer et d’étudier toutes les variations de tournures, de prononciation et d’orthographe, puis d’en dégager la forme la plus cohérente qui puisse servir de norme aux imprimeurs, aux rédacteurs des lois et des documents administratifs, à l’enseignement. Pour s’en acquitter, l’Académie a travaillé dans deux directions
Fête à souhaiter : Gildas
Abbé écossais qui fonda de nombreux monastères en Irlande. Un écossais pur jus qui, dans son histoire de l’Angleterre, s’attacha à dénoncer les péchés des Anglais dont le plus important est tout bonnement d’exister.
Le saviez-vous ?
Pourquoi « l’Île d’Elle » dans les terres.
Il est, dans le sud vendéen, entre Fontenay et La Rochelle une commune au nom harmonieux de : « Île d’Elle », village situé dans les terres. Qui peut penser, en ce début de troisième millénaire, que le fier clocher de ce village indique le souvenir d’une île ?
Et pourtant, c’est vrai. Placé dans le golfe des Pictons, îlot primitif, à l’embouchure de deux rivières, la Vendée et la Sèvres Niortaises, a progressivement été enserré par les alluvions. La mer en se retirant, l’île est devenue terre, tout en conservant son identité. Les seuls souvenirs qui perdurent de cet océan devenu marais, sont les canaux d’irrigation toujours présent dans cette région du Marais Poitevin.
Recette
Spare-Ribs en sauce piquante
Pour 6 personne : 3 oignons – 6 tomates – 1.5kg de travers de porc – 1 gousse d’ail – 1 pincée de sucre – 1 pointe de cayenne – 1 noix de concentré de tomates – 1 petit pot de câpres – 1 noix de beurre – 2 cuill à soupe d’huile – Laurier – Sel et poivre.
Salez et poivrez le travers de porc, coupez-le dans le nombre de parts voulues, mettez-le dans un plat allant au four, et laissez cuire à four modéré 1.15h.
Pendant ce temps, épluchez les oignons, coupez-les en rondelles, et mettez à blondir quelques instants à la casserole dans le mélange de beurre et d’huile.
Plongez quelques instants les tomates dans de l’eau bouillante, mondez-les et concassez-les grossièrement.
Quand les oignons ont pris couleur, ajoutez-leur la purée de tomates fraîches, mouillez avec un verre d’eau, et agrémentez d’une gousse d’ail pilée, d’une pincée de sucre, d’une pointe de Cayenne, d’une feuille de laurier. Incorporez un peu de concentré de tomates, salez, et laissez mijoter à découvert jusqu’à la cuisson de la viande.
Quand le travers est cuit, dressez-le sur un plat de service creux, nappez-le de la sauce, à laquelle vous aurez ajouté les câpres, et servez chaud.
Le sommelier,
aidé d’un serveur, remplit les coupes de Champagne. Audrey se leva, prit son verre maintenant rempli et d’un couteau le tinta vigoureusement.
- Vous n’ignorez pas, commença t-elle, que nous sommes réunis ce soir, pour nous réjouir d’un événement exceptionnel. Alayna, notre mannequin vedette, par son charme, son élégance, fera à la rentrée la couverture de « Times Magazine » et par ricochet honorera le travail de chacun de nous. Avec la complicité de notre maison, nous allons fêter une page de notre vie professionnelle. Mes amis, je vous invite à partager le verre de l’amitié et amusons-nous. A Elayna.
- A Elayna, dit l’assemblée en levant leur verre.
La table était dressée dans un angle de la salle à manger, face à une immense baie vitrée donnant sur un enclos verdoyant où pendant tout l’été était dressé de nombreuses tables sous des parasols publicitaires. Si le temps le permettait les petits déjeuners y étaient servis. Devant chaque verre, un bristol récapitulait le menu de cette journée exceptionnelle. A voir les mimiques de délectation, l’hôtesse de maison avait mis les petits plats dans les grands. Le maître d’hôtel, suivi de deux serveurs apporta de nouveaux verres qu’ils placèrent un à un à côté du verre à vin et celui d’eau.