18 janvier 2019
18 janvier 1877
Cook découvre les ïles Hawaï
Lors de sa troisième mission d’exploration pour le gouvernement britanique , le gouverneur anglais James Cook fait la découverte des ïles Hawa qu’il nomme « les îles Sandwich « C’est sur ces mêmes îles qu’il sera tué, un an plus tard le 14 février 1779, dans uneattaque menée par les indigènes. Entre temps, son voyage l’avait mené jusqu’au détroit de Béring où, bloqué par la banquise, il avait rebroussé chemin
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18 janvier 1800
Création de la Banque de France
Dans le but de relancer l’économie et d’augmenter la quantité de monnaie en circulation, le premier consul Napoléon Bonaparte , édite un décret stipulant la création de la Banque de France L’établissement installe son siège à l’hôtel de Toulouse à Paris et reçoit 30 millions de francs pour amorcer son activité.
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fête à souhaiter : SAINTE PRISCA
Nous fêtons PRISCA, mais aussi Messaline et Priscilla. Prisca signifie en latin « ancien » « antique ». C’était un sobriquet courant dans la Rome antique. Il se diffuse rapidement au premier siècle, puis tombe dans l’oubli. Il refait surface en France dans les années 1980 à travers son dérivé Priscilla qui connaît un triomphe aussi rapide qu’imprévisible.
Prisca ou Prisque, vierge martyre romaine du 1er siècle, elle fut inhumée dans les catacombes de Priscille.
Tradition
En janvier la coccinelle n’est pas morte mais elle est très discrète, puisqu’elle se dissimule dans les hauteurs de la fente d’un pieu, d’une vieille branche où d’une poutre. Un rayon de soleil et elle sort quelques instants.
Observez-la bien alors si vous n’êtes pas encore marié : elle s’envole vers l’église ? Vous êtes de bonne (ou bon) : Elle tourne le dos à la maison de Dieu ? Elle vous annonce votre mariage.
La plupart des coccinelles sont de petite taille, de 0,1 mm à 1,5 cm. De forme arrondie, et aux pattes courtes, elles sont marquées de taches, ou de points noirs. Elles présentent des couleurs diverses, aux motifs variés, et parfois, sont recouvertes d’une couche de petits poils, comme la rhyrobius forestien . Les espèces sont souvent nommées d’après le nombre de leurs points.
Recette
Côte de bœuf à la moelle
Pour 6 personnes : 1 côtes de bœuf de 2 à 2,5kg – 1 bel os à moelle – 3 cuill à soupe d’huile – 50g de beurre – 200g de poitrine fumées – 1kg de champignons – 500g d’oignons blancs – 1 jus de citron – 2 gousses d’ail – 1 botte de cresson – Persil – Laurier – Sel et poivre.
Enduisez légèrement la côte d’huile, piquez-la d’ail en divers endroits, et mettez-la sur une grille, à four très chaud, gril allumé, 20mn de chaque côté.
Pendant ce temps, débarrassez-les champignons de leur pied terreux, lavez-les à l’eau courante, séchez-les, coupez-les en quatre.
Pelez les petits oignons blancs, détaillez la poitrine fumée en petits dés.
Sortez la moelle de l’os, coupez-la en rondelles.
Jetez ces dernières à l’eau bouillante salées. Laissez pocher hors du feu.
Faites fondre le beurre avec 1 cuillerée d’huile dans une sauteuse, et mettez-y les lardons à dorer. Laissez 2 à 3mn, puis ajoutez les petits oignons et les champignons. Remuez à la cuillère de bois, et laissez le tout prendre couleur, salez, poivrez, et laissez cuire 15mn à couvert.
Lorsque la viande est cuite, salez, poivrez, dressez sur un grand plat de service tapissé d’un lit de cresson.
Disposez les rondelles de moelle dessus. Entourez la côte de bœuf de la garniture de champignons, saupoudrez d’un hachis de persil.
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A « Keroman » le navire stoppa pour récupérer douze marins qui regagnaient leurs domiciles.
A la sortie de « Keroman » le capitaine scruta à la jumelle les abords de Port-Louis pour s’assurer de la présence du pavillon de la compagnie hissé sur un mat placé à l’angle de la « Glacière ». Le pavillon était hissé. Cela voulait dire que des passagers voulaient se rendre à Groix. Le navire prit alors la direction de la citadelle. Deux voitures et cinq personnes embarquèrent. Le voyage dura une heure quinze minutes eu lieu de quarante-cinq, sans les deux escales. La houle s’était apaisée, la pluie avait cessé de tomber à l’arrivée à Groix. « La dense, l’essentielle, la douce, la coriace, île vivante dans son épaisseur de île … solidité du roc et du parentage, de l’amitié, de la coutume, de l’amour… » ainsi décrit par Yann Quefelec, l’île s’illuminait d’un soleil radieux. Cette journée s’annonçait sous de bons auspices.