17 janvier 2019

17 janvier 1949

Découverte du virus de la grippe

Le Dr Lépine de l’ institut Pasteur à Paris et le Dr Muller de l’université de Leyde aux Pays-Bas réussissent à identifier deux virus de la grippe    et en isolent un troisième.

17 janvier 1975

Vote de la loi Veil

La ministre    de la Santé de Valéry Giscard d’Estaing    fait voter son texte autorisant l’ avortement   en France avec l’appoint des voix de gauche, après un débat houleux. La loi  est votée à titre provisoire pour une période de 5 ans. Elle sera reconduite le 31 décembre 1979

Troyes -23°

17 janvier 1985

Malgré une légère accalmie survenu du 10 au 13 janvier, une autre offensive d’air froid plus forte que la précédente est observée du 14 au 17 janvier, Il fait -25° à Louviers, -23° à Troyes mais aussi à Nevers et Clermont-Ferrand, -22° à Reims, -18° à Paris et même des températures inférieures à -10 °C sont observées en Aquitaine.

 Fête à souhaiter : SAINTE ROSELINE

Nous fêtons les ROSELINE, mais aussi Achille et Jolaine. Dérivé de Rose, Roseline évoque la perfection florale, mais il pourrait aussi venir d’un prénom scandinave qui signifie la gloire ou l’animal protecteur. En France Roseline s’installe de 1930 aux années 60. Actuellement il est très discret.

Religieuse cartusienne qui avait le don de lire dans les consciences. Sainte Roseline est invoquée pour les moissons.

Histoire

Île …. Marat

Au temps de la révolution, tout ce qui avait une connotation religieuse ou nobiliaire était détruit ou débaptisé. A l’Île d’Yeu on fit mieux. Il est vrai que parfois, on écrivait « Île Dieu ». En 1793, les notables décidèrent, alors que rien ne les obligeait, de donner un nom plus révolutionnaire à leur île. Ils choisirent « île Marat », en l’honneur du grand homme assassiné par la jeune Charlotte Corday. On débaptisa aussi rues et places pour leur accoler des noms prestigieux tel : Brutus, Caton, Voltaire, Cosmopolite, Liberté. Pauvres bouinais, comment pouvaient-ils se reconnaître dans ce palmarès ambitieux. Deux ans après, les patronymes étaient oubliés et l’île Marat redevint Île d’Yeu, telle que nous la connaissons.

Recette

Terrines aux foies de volailles

Pour 8 à 10 personnes : 500g de foies – 200g de jambonneau – 200g de chair à saucisses – 1 oignon – 2 gousses d’ail – 1 carotte – 3 œufs – 300g de bardes de lard – 1 sachet de gelée instantanée – 1 verre de madère – 2 verres à liqueur d’Armagnac – Persil – Thym – Laurier – Sel et poivre.

Détaillez le jambonneau en petits cubes, et mélangez-le avec la chair à saucisses et les foies de volailles hachés.

Pelez l’oignon et les gousses d’ail. Lavez un peu de persil et hachez-les. Ajoutez ces éléments à la préparation précédente, salez et poivrez.

Cassez les œufs dans un bol, ajoutez l’armagnac et battez. Versez dans la préparation aux foies de volailles. Remuez bien le tout.

Tapissez le fond et les parois d’une terrine avec les bardes de lard. Garnissez le récipient de la préparation en tassant bien le tout. Disposez sur le dessus quelques bardes taillées en fines lamelles en les entrecroisant. Couvrez la terrine, et mettez à cuire à four chaud 1h50.

Confectionnez la gelée en mettant dans une casserole le Madère, le contenu du sachet de gelée et en vous conformant aux proportions indiquées sur le sachet.

Quand la terrine est cuite, décorez le dessus avec les rondelles de carotte, un peu de thym et de laurier, et recouvrez de gelée.

Laissez complètement refroidir.

Le carton d’invitation, qu’il avait reçu de Audrey, ne précisait pourtant rien à ce sujet. Abrité, il prit place dans la file d’attente des piétons. Les vélos, mobylettes et deux voitures embarquèrent dans un ordre très précis. Les passagers pressés d’embarquer, à cause de la pluie, se bousculaient empêtrés de leurs bagages. A l’écart une trentaine de personnes endimanchées, attendaient de suivre la défunte à sa dernière demeure. Il pleuvait toujours.

A l’intérieur du navire, une grande salle aménagée de sièges était prise d’assaut. Jean-Bernard s’adossa près d’un hublot et vit le quai, la tour de la découverte, puis la jetée de l’estacade, disparaître. A « Keroman » le navire stoppa pour récupérer douze marins qui regagnaient leurs domiciles.

A la sortie de « Keroman » le capitaine scruta à la jumelle les abords de Port-Louis pour s’assurer de la présence du pavillon de la compagnie hissé sur un mat placé à l’angle de la « Glacière ».