16 décembre 2018

16 décembre 1600 : Henri IV épouse Marie de Médicis

Le 16 décembre 1600, quelques mois après la mort en couches de sa maîtresse Gabrielle d’Estrées, le roi Henri IV se résigne à épouser Marie de Médicis… et sa dot ! La promise, qui a déjà 27 ans, est la fille de François 1er, grand-duc de Toscane, et de Jeanne, archiduchesse d’Autriche. C’est une lointaine cousine de l’ancienne régente Catherine de Médicis.

 Pépin le Bref

16 décembre 714

Mort de Pépin le Jeune, petit fils de Pépin le Vieux et Grand père de Pépin le Bref

16 décembre 1794

Exécution de Jean Baptiste Carrier, l’homme de la Terreur à NANTES. Inventeur des bateaux à soupape qui noyaient cent condamnés à la fois et des mariages républicains « les victimes étaient attachées deux par deux ». Responsable de la mort de 16000 personnes

Fête à souhaiter :Alice – Adélaïde

Alice ou Alix, née près de Bruxelles avait sept ans lorsqu’elle entra chez les cisterciennes où elle mourut de la lèpre.

Adélaïde (ou Alice), princesse bourguignonne, veuve du roi d’Italie Lothaire et de l’empereur d’Occident Otton 1er   le Grand, mère de l’empereur Otton II et grand-mère de l’empereur Otton III, meurt à l’âge de 68 ans, au monastère de Seltz, en Alsace, le 16 décembre 999, après une carrière extrêmement riche en péripéties. Elle est canonisée par le pape Urbain II en 1097.

Il fait bon de semer dans les avents, mais il ne faut pas le dire aux enfants.

Légende

Il existait jadis sur le territoire de ce qui est aujourd’hui la commune d’Aiguillon-sur-Vie une chapelle à la dédicace de sainte Hélène. Les habitants du pays décidèrent un jour d’édifier une église à la place du modeste bâtiment. L’un deux fut désigné pour transporter les matériaux. Il s’arrêta en chemin dans une auberge, planta dans le sol l’aiguillon qui lui servait à conduire ses bœufs et s’y attacha son attelage. Lorsqu’il sortit de l’établissement  – beaucoup plus tard, mais pas tant que ça – le bâton avait pris dans le sol et des bourgeons lui avaient poussé. Devant le miracle, il fut décidé de construire l’église à cet emplacement et un bourg fut bâti autour, qui devint l’Aiguillon.

Recette

Soufflé de cœurs d’artichauts

Pour 4 personnes : 4 artichauts – 4 œufs – 20g de beurre – Noix de muscade râpée – 20g de gruyère râpé – ½ citron – Sel et poivre.

Choisissez 4 beaux artichauts, disposez-les verticalement dans le fond d’une cocotte. Couvrez d’eau au 1/3 de la hauteur, salez d’une bonne pincée de gros sel. Portez à ébullition et faites cuire à couvert 30 mn.

Passez ce temps, mettez les légumes à égoutter dans une passoire, la tête en bas.

Débarrassez les artichauts des feuilles et de la barbe pour ne conserver que les cœurs. Eliminez soigneusement les parties fibreuses à la base des cœurs. Passez-les à la moulinette pour les réduire en purée.

Faites fondre 20g de beurre dans une casserole et sur feu doux, mettez-y 2 à 3 mn la purée de cœurs d’artichauts en remuant constamment à la cuillère de bois. Ajoutez le jus du ½ citron.

Hors du feu, ajoutez un peu de poivre, de noix de muscade râpée et les jaunes d’œufs (réservez les blancs -. Mélangez bien la préparation.

Battez énergiquement les blancs dans un saladier à l’aide d’un fouet, de manière à obtenir des œufs en neige très ferme.

Incorporez délicatement peu à peu les blancs en neige à la purée d’artichauts.

Beurrez légèrement un moule à soufflé et garnissez-le de la préparation.

Parsemez le dessus avec le gruyère râpé, et mettez à cuire à four chaud une vingtaine de minutes.

Passé ce temps, ôtez du four et présentez le soufflé dans son moule de cuisson.

Elayna avait ouvert en présence de Muryelle l’enveloppe concernant les dispositions à suivre. Ensuite elle s’était précipitée, pour respecter le vœu de Jean-Bernard, chez leur conseil. Celui-ci avait immédiatement contacté la mairie, ainsi que Maître Stéphane Pralon, notaire. Le permis d’inhumer avait été délivré par le médecin légiste, et il avait été décidé de procéder à la cérémonie d’adieux le samedi suivant.

La famille fut invitée à se retrouver chez Elayna, où résidait en concubinage Jean-Bernard. Ses parents, frère

et sœurs, enfants,  retrouvaient avec plaisir  le domaine.

Ils y étaient tous venus qu’une seule fois, pour fêter le Noël 1997. Cyril son frère connaissait parfaitement le domaine, pour y être venu régulièrement chaque mois, lors de ses déplacements professionnels. Seul, le jeune homme et l’adolescente, invités sur l’insistance de Cyril, et présentés comme des parents très proches de sa femme, étaient inconnus des autres convives et d’Elayna.

C’est Adelyne qui faisait office de maîtresse de maison.