15 décembre 2018

15 décembre 1791

Régdaction de la Déclaration des droits

Le 15 décembre 1791 fut ratifiée la Déclaration des droits, le Bill of Rights. Cette déclaration regroupe les dix premiers amendements de la constitution des Etats-Unis d’Amérique. Elle symbolise les piliers de la loi américaine comme la liberté de religion, de la presse, de la parole ou encore de port d’armes. Pour son rédacteur James Madison, Il s’agissait d’octroyer plus de libertés individuelles en limitant les prérogatives et le pouvoir de l’état central.

 

Le 15 décembre 1840,

l’Empereur retrouve sa capitale. Il fait un froid glacial mais cela n’a pas empêché cent mille parisiens de se presser sur le parcours du cortège. Le passage qui suit est extrait des « Mémoires » du grognard Jean-Marie Putigny, un brave de la Grande-Armée. Putigny, né le 9 juin 1774 à Saillenard (Saône-et-Loire) s’engagea dès 1792. Il est dans l’armée du Nord, en Vendée, en Italie. Plus tard on le retrouve dans la Grande-Armée. Il sera à Austerlitz, à Auerstaedt, à Eylau, à Wagram. Il connaîtra les plaines glacées de Russie puis la chute de l’Empire.

 Fête à souhaiter :Ninon

Ninon ou Nino, prisonnière du roi de Géorgie, elle parvint à le convertir « par son exemple » précise l’hagiographie.

Histoire

« La Chaize-Giraud a eu pendant tout le Moyen-âge, grâce à sa position sur le Jaunay et sur le chemin de Nantes aux Sables, une assez grande importance. Ses foires subsistent encore et celles des porcs, notamment, sont réputées dans tout le pays. Le château qui était attenant à l’église et dont on voit très distinctement l’emplacement sur un vaste terre-plein en avant du bourg commandant le passage de la rivière et devait être une forteresse féodale très sérieuse. Il fut fondé dès le X° siècle par Emery Giraud dont il prit le nom. Il fut en partie détruit en 1326 par le seigneur Garreau, qui pourrait bien être le fondateur de la chapelle de Notre-Dame-de-Garreau. La châtellenie de La Chaize-Giraud qui avait droit de haute justice et dont la juridiction s’étendait sur plusieurs paroisses, avait successivement appartenu aux familles d’Aubigné, de Haye, Chauvin de la Muse, et devint la propriété de Vincent Bouhier, seigneur de Beaumarchais ».

Poissons

Les jurés des poissonniers d’eau douce surveillaient la qualité et la dimension des poissons mis en vente.   Les « barbiaux, tanchiaux, cuerpiaux et anguillestes » ne pouvaient être vendus moins d’un denier les quatre ; à plus bas prix, ils étaient considérés comme trop petits : le pêcheur n’eût pa le garder. Tout poisson saisi était donné aux « prisonniers du Chastelet ou à la maison Dieu »

Recette

Escalopes de dinde à la Rochenard

Pour 4 personnes : 4 escalopes de dinde – 2 beaux oignons – 1 gousse d’ail – 1 noix de concentré de tomates – 2 verres de vin blanc – 4 œufs – 100g de gruyère râpé – 1 feuille de laurier – 3 cuill à soupe d’huile – 1 noix de beurre – Sel et poivre.

Faites chauffer le mélange de beurre et d’huile dans une sauteuse, et mettez-y à dorer les escalopes après les avoir salées et poivrées.

Pelez les oignons, hachez-les grossièrement et ajoutez-les à la viande.

Quand les escalopes et les oignons ont pris couleur, mouillez avec le vin blanc, aromatisez d’une feuille de laurier et d’une gousse d’ail pilée, et délayez une grosse noix de concentré de tomates dans la sauce. Salez légèrement, poivrez, et laissez mijotez à découvert 5mn environ.

Passez ce temps, cassez les œufs dans la sauce, parsemez le tout avec le gruyère râpé, et laissez cuire à feu moyen une dizaine de minutes.

Servez aussitôt dans un récipient de cuisson.

Puis, Elayna se leva et elle fut rejointe par toute la famille de Jean-Bernard et ses amis proches  pour recevoir  les condoléances. Certains  y allaient d’un mot, d’une phrase, d’un éloge parfois dithyrambique. D’autres venus par  estime, les saluaient d’un signe de la tête. Muryelle tenait par le bras Elayna et elles cherchaient à se frayer un passage dans la foule toujours aussi dense.

 Les paparazzi venus du monde entier et les  journalistes y allaient de bon cœur et cela devenait presque indécent. Ils apostrophaient sans ménagement les deux femmes. Certains scandaient à tue tête, couvrant la musique des « Quatre Saisons » «  Elayna, Elayna par ici » pour qu’elle soit dans l’axe de leurs objectifs. D’autres appelaient « Isydora », du nom de l’artiste, ne connaissant pas le véritable prénom de l’accompagnatrice d’Elayna.

XXX

Elayna, avait respecté la première partie des dernières volontés de Jean-Bernard.

Elle avait retiré de son coffre-fort scellé à l’intérieur  d’une armoire à grains, l’enveloppe qu’elle avait remise à leur avocat, comme l’indiquait le texte manuscrit tombé d’une poche d’un complet veston de Jean-Bernard.

A l’intérieur du coffre, il y avait deux enveloppes, et non une, comme le précisait le billet. Une inscription y était notée sur chacune d’elle. L’enveloppe la moins épaisse  mentionnait : « Disposition pour mon enterrement » et l’autre, plus conséquente, « A remettre à Julien Descamps, avocat, qui fera le nécessaire ».