7 décembre 2018

Au matin du dimanche 7 décembre 1941, des nuées d’avions japonais attaquent par surprise la flotte de guerre américaine à Pearl Harbor, dans l’archipel des Hawaï.

 

Le saviez-vous ?

Pourquoi Fontenay-le-Comte ?

Les villes sont parfois associés à un qualitatif qui souligne un caractère géographique. Les villes affublées d’un titre de noblesse sont plus rares.

En Vendée on ne connaît que La Chaise-le-Vicomte et Fontenay-le-Comte.

Pourquoi ce titre ?

C’est en 1245 que Louis IX, roi de France, donna la région poitevine à son frère Alphonse, qui devint comte de Poitou et d’Auvergne. Fontenay, ville importante au point de vue économique devint le siège de la justice comtale. Pour authentifier cette possession, Fontenay devint « Fontenay-le-Comte ». Durant la période révolutionnaire, les titres de noblesse furent abolis. On remplaça le « Comte » par « Le Peuple ». Le calme rétabli, Fontenay-Le-Peuple redevint Fontenay-le-Comte.

En Vendée on ne connaît que La Chaise-le-Vicomte et Fontenay-le-Comte.

Pourquoi ce titre ?

C’est en 1245 que Louis IX, roi de France, donna la région poitevine à son frère Alphonse, qui devint comte de Poitou et d’Auvergne. Fontenay, ville importante au point de vue économique devint le siège de la justice comtale. Pour authentifier cette possession, Fontenay devint « Fontenay-le-Comte ». Durant la période révolutionnaire, les titres de noblesse furent abolis. On remplaça le « Comte » par « Le Peuple ». Le calme rétabli, Fontenay-Le-Peuple redevint Fontenay-le-Comte.

Fête à souhaiter : Ambroise

Fils du préfet des gaules naquit à Trèves en 339 et fut évêque de Milan jusqu’à sa mort, le 4 avril 397. Alors qu’il était encore au berceau, un essaim d’abeilles entra dans sa bouche comme pour y travailler leur miel, présage de sa grande éloquence. Ce fut un remarquable prédicateur, qui convertit Saint Augustin. Il écrivit des hymnes et créa le rite ambrosien.

Faites attention à la Saint Ambroise.

Quand Saint Ambroise  vois neiger, de dix-huit jours de froid tu es en danger. A la Saint Ambroise, du froid pour huit jours.

 

Croyance

Le pouvoir des sorciers, ou tout du moins leur pouvoir de persuasion les faisait craindre de la population. Ils avaient la réputation de se transformer en loup ou tout autre animal pour empoisonner la vie de leurs contemporains par toutes sortes de procédés mystérieux. Créatures diaboliques, elles ne résistaient néanmoins pas aux armes de la religion, dont la plus efficace était la « croix de saint Benoît ».

 

Histoire

Si l’on en croit la tradition et de nombreux auteurs, c’est une colonie de pêcheurs basques qui serait à l’origine de la Chaume.

Remontant la côte à la poursuite des sardines, ils auraient repéré le refuge de ce petit port naturel et y auraient établi leurs cabanes à l’abri des dunes.

Ce genre de migration de villages entier était fréquent aux débuts de la monarchie française, surtout dans les régions côtières où la mer constituait une issue toute trouvée. Un seigneur cruel, ou une défaite, ou bien encore une persécution suffiraient à convaincre une population de marins à prendre le large vers des rivages plus cléments.

A la Chaume, entre pêche et commerce avec son pays d’origine, la colonie basque prospéra et s’étendit jusqu’au village des Sables. Elle fut remarquée par Louis XI en 1472 qui favorisa son essor en ordonnant le creusement du port

Recette

Cabillaud à la Wassenaar

Pour 4 personnes : 4 tranches de cabillaud – 25cl de bière blonde – 2 cuill à soupe de farine – 1 petite boite d’anchois – 1 cuill à café de moutarde – 1 jaune d’œuf – 1 verre d’huile – 30g de beurre – 1 bouquet de persil – 1 citron – 1 bain de friture – Sel et poivre.

Faites débiter par votre poissonnier 4 belles tranches de cabillaud. Lavez-les et séchez-les sur du papier absorbant.

Versez la bière dans un plat creux, et la farine dans un autre plat. Salez et poivrez les tranches de poisson, trempez-les dans la bière, puis enrobez-les de farine.

Plongez le cabillaud dans le bain de friture bouillant, et laissez les tranches cuire et dorer 5 à 6 mn, en les retournant à mi-cuisson.

Pendant ce temps, préparez une mayonnaise et mettez dans un bol la moutarde, le jaune d’œuf, un peu de sel et de poivre. Tournez et versez l’huile en filet. Lorsque la mayonnaise est montée, incorporez le jus d’un ½ citron et les anchois préalablement pilés dans un mortier.

Lorsque les tranches de cabillaud sont cuites, mettez-les égoutter sur du papier absorbant, puis dressez-les sur un plat de service.

Faites frire un bouquet de persil dans un peu de beurre, et disposez le persil sur les tranches de poisson. Décorez de quelques tranches de citron et présentez à part la mayonnaise aux anchois pilés.

 

 

Chapitre – 24

Commissariat de La Roche sur Yon.

A la carrée, les policiers en tenues, tirés à quatre épingles, attendaient le commissaire Roger Enjulmeau et son équipe. Fleury, quelques jours au par avant, avait fini par récupérer la hache à la station d’épuration.  Malheureusement manquait à l’appel une main: celle de Ludivine.

Cimetière de Angles.

L’enterrement des deux jeunes filles étaient prévues pour quatorze heures.

Au cimetière, une foule considérable attendait sous un soleil radieux. Le Maire et tout le conseil municipal étaient là, attendant les corbillards des deux familles.

Deux fourgons entièrement submergés de couronnes de fleurs uniquement blanches, entrèrent l’un derrière l’autre suivi immédiatement par les deux familles, le Maire, le conseil municipal, les amis proches, puis les Angloises et les Anglois.

Les deux familles avaient souhaité que les deux cercueils fussent mis en terre dans le même caveau.

Jean Gerhonteau, l’élu de Angles, prit le goupillon que le curé lui tendit et bénit en effectuant le signe de croix, le cercueil de Ludivine, puis celui de Liliane. Bérénice suivit. Elle fit les mêmes gestes rituels avant de passer l’aspersoir à Clémence. Celle ci prit la main gauche de Roger  Enjulmeau et ensemble ils bénirent leur petite fille. Vinrent ensuite Alain Briau, Madame et Monsieur Poireau. Les enfants, Thomas, Julien, se recueillirent ensemble devant leur demi-sœur qu’ils n’avaient jamais connue. Thomas jeta deux roses blanches sur le cercueil et dit:

  • S’il vous plait, n’en voulez pas à Romuald.

Thierry Thiébeault immortalisa la cérémonie

 

Fin