6 décembre 2018

Aux Sables d’Olonne, un mois de décembre sans Foire aux Voleurs, ça n’existe pas ! Chaque année, le premier samedi de décembre est réservé à cette fête traditionnelle.

Pourtant en 2017 et cette année 2018 elle a été annulée.

6 décembre 1941

À Washington, les relations entre le Japon et les États-Unis sont à leur plus bas. Roosevelt   lance un appel à la paix à l’empereur du Japon. Cette approche directe transgresse la culture japonaise sur le rôle de l’Empereur et elle demeure sans réponse. Le service de déchiffrage américain décode, comme à son habitude, tous les messages diplomatiques japonais et en particulier celui d’aujourd’hui qui est traduit et transmis au président. Le message est sans équivoque sur l’imminence d’une guerre, mais ne donne aucun détail spécifique.

Dans le Pacifique, les troupes japonaises quittent Palau en vue d’une attaque dans les Philippines.

6 décembre 1491

Assiégée dans Rennes, Anne duchesse de Bretagne est contrainte d’épouser le roi Charles VIII, pour rattacher la Bretagne à la France

 

6 décembre 1779

 A Paris mort de Jean-Baptiste Chardin « le grand peintre français de la réalité au XVIII° siècle.

 

Fête à souhaiter : Nicolas

Patron des écoliers. Selon la légende, il aurait rendu à la vie trois enfants égorgés par un aubergiste.

Les Nicolas sont dévoués et intelligents.

Saint Nicolas fait les bons ménages, guérit de la fièvre et de la rage.

Saint Nicolas marie fille et gars.

Saint Nicolas, de décembre est le moins froid.

Neige de Saint Nicolas, donne froid pour trois mois.

L’Hiver est souvent las à la Saint Nicolas.

 

Nicolas

L’histoire populaire de saint Nicolas

Le culte du saint a vulgarisé sa légende. Elle est très riche. Chaque épisode de sa vie décrite par la « légende dorée » a donné à saint Nicolas le patronage d’une confrérie, d’un métier ou même d’une région.

Il est le protecteur de la vertu des jeunes filles.

Saint Nicolas dota trois jeunes filles que le père voulait livrer à un métier honteux. La dot permit à ces jeunes filles de faire un mariage honorable. C’est pourquoi saint Nicolas est également le patron des jeunes filles à marier.

Les jeunes filles qui cherchent un mari font le pèlerinage à Saint Nicolas et doivent marcher sur « la bonne pierre » (dalle perdue dans le pavé de l’église, le tout était de la trouver) en la basilique portoise pour être sures d’éprouver l’homme de leurs rêves. A Château Salins (Moselle) les jeunes filles avaient la coutume de se placer à 8 heures du matin sur les marches du portail de l’église, et pendant que les cloches sonnaient, elles priaient Saint Nicolas de leur trouver un mari à leur goût.

Quant à tous les jeunes hommes désireux de se mariage, le matin de la Saint Nicolas, ils ne doivent pas manquer de dire, en se levant «  Saint Nicolas qui marriez les filles avec les gars, ne n’oubliez pas ».

Recette

Côtelettes de chevreuil

Pour 4 personnes :18 côtelettes de chevreuil – 1 c. à s. d’huile – 1  carotte  – 1 gousse d’ ail   – 1  oignon   – 1/2 l de fond de veau    – 10 cl de vin   d’Alsace rouge – 10 cl de  vinaigre – 20 g de baies de genièvre – 30 g de  beurre  – 40 cl de  liqueur r de genièvre – 5 cl de – Crème fraiche – bouquet garni  – Sel et poivre du moulin

chevreuil denièvre Pour la sauce : épluchez l’ail, la carotte et l’oignon. Coupez-les en petits morceaux. Concassez les baies de genièvre dans un mortier.
Faites revenir le tout dans une casserole avec l’huile. Salez, poivrez. Flambez avec la moitié de la liqueur de genièvre, ajoutez le vinaigre et laissez réduire d’un tiers. Mouillez avec le vin, laissez réduire de nouveau d’un tiers. Versez le fond de veau et ajoutez le bouquet garni. Laissez cuire 1 h à feu doux. Passez la sauce au chinois et réservez.

Faites revenir les côtelettes avec le beurre. Retirez-les de la sauteuse et réservez.
Dégraissez légèrement la sauteuse, puis déglacez-la avec la liqueur restante. Laissez réduire et incorporez doucement la crème fraîche. Ajoutez alors la sauce. Réchauffez-le tout rapidement.

 

A l’intérieur du pavillon, les hommes inspectèrent méthodiquement une à une les pièces. Celles du rez-de-chaussée, du salon, de la salle à manger, de la cuisine ne révélèrent rien. Ni les trois chambres au premier étage. Par contre au sous-sol, dans une pièce qui servait de bureau à l’infirmier, le commissaire se régala.

L’ordinateur livra ses secrets. Trois cent trente deux personnes opérées y étaient répertoriées avec des sommes.

– Patron, dit Fleury certaines personnes payaient le prix fort.

– Exact, entre soixante mille  et soixante-quinze mille francs, maintenant plus de neuf mille  à près de onze mille cinq cent €uros.

– Pour quelle raison ? Elles ont reçue un foie plus petit ?

– Hercule, je n’en sais rien, mais il y a sûrement  une raison.

Les hommes qui effectuaient la perquisition se donnaient un malin plaisir à tout chambouler. Rien ne leur résistait. Ils chambardaient, bouleversaient, mettaient sans dessus-dessous, renversaient à la limite du saccage tout ce qu’ils  touchaient.  Ils ne se donnaient pas la peine de ranger ce qu’ils venaient d’inspecter, sûrement pour ne pas  les examiner une nouvelle fois.

Certains lisaient à haute voix les relevés bancaires qui révélaient des sommes importantes  immédiatement virées à son profit dans une banque roumaine.

– Il devait faire vivre toute une communauté, dit Fleury.

– Qu’est ce que l’on cherche, demanda un policier dans le bureau de Petra Ramaneanu.

–  Tout, répondit le commissaire Roger Enjulmeau.

La réponse en disait long sur la méthode, tout, c’était tout. Rien ne devait échapper  pour étayer, conforter une opinion, une impression pour argumenter, affirmer, certifier et attester ce qui au départ n’était qu’une simple conviction de culpabilité.

  • Patron, venez voir, dit Hercule devant une

armoire en acier trempé.

 

 

 

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