26 novembre 2018

Journée internationale des aides-soignants

Une journée internationale restée discrète… ella existe depuis 2010 et semble avoir été initiée par la profession elle-même. Elle avait reçu, l’année de sa création, le soutien de la ministre de la santé de l’époque, Madame Roselyne Bachelot-Narquin.

Une profession invisible…

Ou tout au moins manquant de reconnaissance car sa proximité avec les malades n’en fait pas pour autant une profession « écoutée »: « Nous ne sommes que aide-soignant, on ne nous écoute pas… », « Les gens nous traitent de laveuses, de toiletteuses ou pire encore… » et autres perles relevées ici et là sont monnaie courante dans la profession.

Pourtant, l’aide-soignante (osons le féminin dans la mesure où l’aide-soignant et très souvent une aide-soignante !) est avant tout une professionnelle de santé, exerçant par délégation et sous l’autorité des infirmières, des taches essentielles à la vie de l’hôpital.

26 novembre 1812

Harcelés par les cosaques, épuisés par le froid et la faim, la Grande Armée en retraite traverse la Berezina. En Russie, Napoléon a perdu 400.000 tués et 100.000 prisonniers.

26 novembre 1252

Mort de Blanche de Castille petite fille d’Aliénor d’Aquitaine et mère de Saint-Louis

 

 Fête à souhaiter : Delphine

 

Née vers 1283, morte en 1360, mariée à 15 ans elle mena une vie de prière et

de pénitence.

Les Delphine sont rayonnantes et sereines

Croyance

Une fontaine de Mortagne – Dieu seul ou quelqu’empirique, sait encore laquelle – est hantée par une Dame Blanche. Elle était consultée par les sorciers pour prédire l’avenir et les quidams qui s’essayaient à la faire disparaître – il suffisait, certains soirs, de faire cinq fois le tour de la fontaine – s’entendaient énoncer la liste de leurs malheurs à venir et n’en remettaient que rarement.

A la fin du XVIII° siècle, un sieur Benoît établi au Palais Royal, eut l’idée de faire vendre des marrons chauds par deux jeunes commis habillés en capucins. De ce temps datent les marrons grillés aux coins des rues de l’hiver.

Recette

Côtes d’agneau au céleri

Pour 4 personnes : 4 côtes – 1 céleri-rave – 1 citron – 1 noisette de beurre – 1 cuill à soupe de crème fraîche – Quelques feuilles d’estragon – 2 cuill à soupe d’huile – Sel et poivre.

Coupez le céleri-rave en quatre, épluchez les quartiers et détaillez-les en fines tranches.

Faites bouillir de l’eau dans une grande casserole, salez, agrémentez s’un jus de citron et laissez cuire 30mn à couvert.

Passé ce temps, égouttez soigneusement le légume et passez-le au mixer. Ajoutez la crème fraîche et le beurre, aromatisez de quelques feuilles d’estragon hachées, et tenez au chaud dans une casserole sur feu très doux.

Faites chauffez l’huile dans une poêle, et mettez-y à saisir les côtes salées et poivrées. En fonction de l’épaisseur des tranches de viande et selon ce que vous désirez plus ou moins cuites, laissez-les sur feu assez vif de 4 à 8mn sur chaque face.

Dressez les côtes d’agneau sur un plat de service, entourez de la mousse de céleri que vous pourrez déposez en macarons à la poche à douille, et servez aussitôt.

 

. D’abord, il se procura

un fusil à lunette dans une armurerie du centre ville et en planque, face à l’entrée des urgences du C.H.D, il attendait que Petra Ramaneanu apparaisse à l’heure du déjeuner. Soudain, il vit un hélicoptère descendre sur l’hôpital. Par curiosité, il sortit  de sa voiture et entra par le porche réservé aux ambulances. Il vit Petra Ramaneanu soutenant Bogdan  plié en deux embusqués derrière un pilier au bas de la plate forme, puis à l’approche de l’hélicoptère, monter. De son poste d’observation une fois les deux hommes sur la plate-forme, il ne voyait plus rien.  Il pensa que l’aérodyne était là pour eux. L’infirmier avait réussi comme prévu à déjouer l’administration pénitentiaire, puis celle du personnel de l’hôpital. Il regagna sa voiture, démarra et avança jusqu’au rond des Oudairies faisant face à l’hôpital. L’hélicoptère ne pouvait que passer par-là, mais où allait-il après ?  Une minute après il était fixé. L’hélicoptère vira à gauche. L’avocat en fit autant en prenant la rue Georges Pompidou, puis à droite par le boulevard d’Italie et le boulevard des Belges. Le professeur et ses complices prenaient la direction des Sables d’Olonne. L’avocat fit de même. Il continua en tournant à gauche sa route en prenant le boulevard Aristide Briand puis la rue Roger Salengro. Route des Sables il avait en point de mire, mais gros comme un poids chiche, l’hélicoptère. Pour ne pas le perdre de vue il accéléra atteignant sur la vois express  les cents soixante kilomètres par heure. Les yeux rivés sur la route et dans le ciel il vit l’hélicoptère tournoyer en aval de La Mothe Achard et virer légèrement à gauche sur  Sainte Flaive des Loups.