7 mars 2020

suite

Enfin une parole d’encouragement, ce qui valu à Jean-Bernard une poignée de main franche de la part du Ministre et du Maire qui était témoin à charge ou à décharge de cette réunion. Allez savoir ?

• Nous vous laissons Monsieur Géraud. Au plaisir de vous revoir.
• Monsieur le Ministre, Monsieur le Maire, Madame.

Le ministre avait à peine tourné le dos que,

• Un dernier renseignement Monsieur Géraud. Ces

• hélicoptères, s’ils arrivaient sur notre sol, pourrions nous envisager de les utiliser pour le bien de la population ? Qu’en pensez-vous ?
• Nous projetions les utiliser aussi pour la sécurité civile, répondit Jean-Bernard qui n’y avait jamais pensé.
• Bien, Très bien, reconnu le ministre.

Chapitre – 5

1991

Dimanche 14 juillet

On célébrait la fête nationale à l’ambassade de France dans l’archipel du Cap-Vert, République das ilhas do Carbo Verde, dans l’atlantique nord. Pour la circonstance, c’était une journée porte ouverte, où tous les ressortissants français des îles se retrouvaient à la soirée offerte par l’Ambassadeur, dans sa villa du front de mer. Tout ce qui pouvait compter de personnalités se donnait rendez-vous en ce dimanche, autour du buffet où le champagne coulait à flots.

Jean-Bernard était arrivé dans l’île de Sal, Ile-du-Vent, le barlavento, le vendredi en arrivant de São Tomé par Abidjan , puis Dakar au Sénégal, avant d’atterrir à l’aéroport international d’Espargos de Sal. Descendu à Hôtel Belorizonte, construit par le groupe Accor-France,