22 juillet 2019
suite
Le téléphone intérieur sonna. C’était Justyne qui attristée, délivra un message dont elle ne saisit pas toute la portée.
- Monsieur Ganelon, demande que demain samedi, vous veniez au bureau à neuf heures. Il m’a dit de vous préciser qu’il vous recevra.
- Merci Justyne, dit Jean-Bernard affolé par la tournure des événements.
Chapitre – 7
Samedi 20 Juin.
Il était huit heures trente quand la grille du portail de l’usine se referma automatiquement sur Jean-Bernard. Il
rangea sa voiture près des peupliers d’Italie, bordant le parking de la direction. Il faisait très chaud. Machinalement Jean-Bernard ôta sa veste de lin bleu pétrole et retroussa ses manches de chemise.
Chapitre – 7
Samedi 20 Juin.
Il était huit heures trente quand la grille du portail de l’usine se referma automatiquement sur Jean-Bernard. Il
rangea sa voiture près des peupliers d’Italie, bordant le parking de la direction. Il faisait très chaud. Machinalement Jean-Bernard ôta sa veste de lin bleu pétrole et retroussa ses manches de chemise.