26 février 2019

Fernandel  – décédé le 26 février 1971

De son vrai nom fernand Contantin , Fernandel fut un grand comique    au sourire chevalin, à l’accent chantant et aux manières gauches et tendres. Fils d’un comptable, chanteur de café-concert pendant ses loisirs, qu’il accompagne très tôt dans les coulisses, le jeune Fernand   fredonne dès l’âge de sept ans les succès de Polin   . Pour gagner sa vie, il devient employé de banque sans pour cela cesser de chanter. Tout au long de sa carrière d’acteur  r, il ne cesse de chanter ; on lui doit notamment la célèbre chanson  » Ignace

26 février 1790

Création de 83 départements français

L Assemblée Constituante ‘  vote un décret récapitulant les noms et le limites des départements   . Il est décidé que la France sera divisée en 83 départements   et que le chef-lieu de chacun d’entre eux se situera en leur milieu afin qu’il soit accessible à tous les habitants.

26 février 1806

Construction de l’Arc de Triomphe

L’architecte français Jean-François Chalgrin amorce les travaux de  l’arc de triomphe de l’Etoile commandé par Napoléon  Ier en honneur de la  Grande Armée  . S’inspirant de modèles antiques, l’arc de triomphe  parisien surprend par sa taille   monumentale : 50 mètres    de hauteur et 45 mètres   de large.

Fête à souhaiter : Nestor

Evêque d’Asie Mineure, qui était à ce point aimé les habitants de sa ville, Magydos, que lorsqu’il fut crucifié en 251, même les païens s’agenouillèrent.

Paul Baudry – Prix de Rome

Il voyagea à travers toute l’Italie pour s’imprégner de l’art pictural et architectural italien. Au musée de La Roche-sur-Yon, on peut découvrir « la lutte de Jacob et de l’Ange » qu’il a réalisé en 1851. De retour à Paris en 1856, il commença à se faire connaître en participant régulièrement au « Salon ». Tenté un instant par des compositions historiques contemporaines régionales ; il ne reçut pas l’accueil escompté, par contre ses nus furent remarqués. Au musée de Fontenay-le-Comte on peut voir « une Diane chassant l’Amour », datée de 1864. Les contingences financières lui imposèrent de céder à la demande nouvelle d’une clientèle fortunée. Il va devenir un temps le portraitiste reconnu des salons parisiens. Un critique dit de cette période « l’artiste est plus sensible aux charmes qu’à la psychologie de ses modèles ». Le décor des salles de réception est aussi une de ses affections et grâce à ses relations nouées à Rome. Charles Garnier lui proposa de décorer le plafond du grand foyer de l’Opéra en construction Paul Baudry consacra dix ans à la réalisation de cette œuvre. Il obtient la consécration par ce travail où la mythologie est le sujet principal.

A suivre

Recette

Carré de porc aux pruneaux

Pour 6 personnes : 500g de pruneaux – 1 carré de porc à 6 côtes – 1 verre de vin blanc – 1 verre à liqueur d’eau de vie de prune – 2 gousses d’ail – 10cl de crème fraîche – 4 cuill à soupe d’huile – 2 feuilles de laurier – Sel et poivre.

Mettez la veille les pruneaux à tremper dans une bassine d’eau froide.

Piquez le carré de porc avec les gousses d’ail, salez-le, poivrez-le, émiettiez dessus les feuilles de laurier. Arrosez-le de 4 cuillèrées d’huile.

Versez un bon verre d’eau dans un plat allant au four, placez la viande dans le plat, et mettez à four moyen 1h30, en arrosant le carré de temps en temps.

Egouttez les pruneaux, mettez-les dans une casserole avec le vin blanc, l’eau de vie de prune, et un peu d’eau pour compléter le mouillement à hauteur. Faites cuire à petits bouillons, à découvert, une quinzaine de minutes jusqu’à ce que le liquide réduise de moitié.

Lorsque la viande est cuite, disposez-la sur un plat de service chaud, et entourez-la des pruneaux.

Versez le jus de cuisson des pruneaux dans le plat de cuisson de la viande, grattez bien le fond à la spatule pour décoller les sucs qui y adhèrent et incorporez 10cl de crème fraîche.

Servez immédiatement le carré de porc et présentez la sauce en saucière .

Ils vécurent, Jean-Bernard

rue de Rome et Elayna, avenue des Ternes. Leurs activités professionnelles ne se prêtaient guère à une vie normale de couple. Pourtant de part et d’autre, ils avaient fait des concessions et ils avaient décidés qu’ils ne se marieraient que lorsqu’ils pourraient revenir dans l’île de Groix et jeter une pièce à la fontaine des amoureux.

C’était un subterfuge. Jean-Bernard, aurait tant désiré l’épouser, mais sa situation tellement compliquée, ne l’incitait pas à impliquer quiconque de son entourage. Elayna, travaillait le plus souvent à l’étranger, toujours accompagnée d’Adelyne qui cessa la première le mannequinât dans les années 1970, pour s’occuper des affaires en plein essor de son amie.

Jean-Bernard, le temps d’un week-end prolongé, rejoignait Elayna là où elle se trouvait. Ainsi ils passèrent de merveilleuses fins de semaine à Rome,

Venise, Vienne, Bruges … et c’était avec déchirement qu’ils se quittaient pour quelques jours. Tous les soirs, en tenant compte des décalages horaires, quand elle partait à l’autre bout du monde, Jean-Bernard, l’appelait au téléphone, et ils se souhaitaient une bonne nuit après avoir discuté des heures et des heures.