7 janvier 2019

7 janvier 1841

Victor Hugo entre à l’Académie française

A 39 ans, et après avoir subi plusieurs échecs, Victor Hugo est élu à l’ Académie française  de justesse avec 17 voix sur 32. En prenant place au fauteuil 14, il remplace Népomucène Lemercier.

7 janvier 1890

Inauguration du premier tramway électrique

Clermond-Ferrand inaugure le premier tramway   électrique français. Baptisé  » Wattman  « , il est un des derniers trams à être installé en France et bénéficie ainsi d’une toute nouvelle invention : la traction    électrique par câble aérien. La  première ligne  rallie Montferrand à Royat. Le tramway  clermontois cessera de rouler en 1956 pour laisser place à l’autobus.

7 janvier 1998

Sortie française de « Titanic »

Le film le plus cher de l’histoire du cinéma   (plus de 200 millions de dollars  de budget) apparaît sur les écrans français trois semaines après sa  sortie américaine. Il totalisera plus de 20 millions d’entrées dans l’hexagone et sera le premier  film   à dépasser la barre du milliard de  dollar  au box-office mondial.  » Titanic »   » rapportera à son réalisateur James Cameron    et à la Century Fox   1,2 milliard de recettes et 11  oscars   à Hollywood.

 

 Fête à souhaiter : SAINT RAYMOND

Nous fêtons RAYMOND, mais aussi Ginny, Polyeucte et Cédric. D’origine germanique Raymond exprime les qualités espérées pour son détenteur. Il signifie  » l’homme de bon conseil ». Bien implanté du 9 au 14e siècle, il disparaît soudain jusqu’au 19e siècle. Son retour le hisse sur le podium jusqu’aux années 30. Il devient ensuite plus discret, puis très rare.

Patron des docteurs en droit canon. Né à Barcelone, confesseur, il fabriqua un bateau avec son manteau pour traverser la mer : il mourut en 1275.

Janvier d’eau chiche, fait le paysan riche.

 

Charlie Hebdo

Assassinat des dessinateurs de Charlie Hebdo

L’attentat contre Charlie Hebdo est une attaque terroriste islamique perprétée contre le journal satirique Charlie Hebdo le 7 janvier 2015 à Paris  jour de la sortie du numéro 1 177 de l’hebdomadaire. C’est le premier des  attentats de janvier 2015 en France

Vers 11 h 30, les frères Chérif et Saïd Kouachi    pénètrent dans le bâtiment abritant les locaux du journal armés de  fusils d’asauts et y assassinent  onze personnes, dont huit membres de la rédaction.

Les victimes de la  tuerie sont les déssinateurs Cabu, Honoré et Wolinski, la psychanaliste Else Cavat, l’économiste Bernard Maris,, le policier  Franck Brinsolaro  qui assurait la protection de Charb, le correcteur Mustapha Ourrad, Michel Renaud   cofondateur du festival Rendez-vous du carnet de voyage    invité pour l’occasion, et Fréderic Boisseau   un agent de la société Sodexo   , chargée de la maintenance du bâtiment.

Recette

Haddock au gratin

Pour 6 personnes : 1kg de haddock – 1 branche de céleri – 100g de beurre – 30g de farine – 1 oignon – ½ litre de lait – 1 jaune d’œuf – 50g de chapelure – Sel et poivre.

Epluchez la tranche de céleri et l’oignon. Hachez-les très finement ensemble et réservez.

Faites fondre le beurre dans une petite casserole et ajoutez le hachis d’oignon et de céleri. Laissez suer quelques instants ces légumes dans le beurre à feu doux, puis versez la farine en pluie. Tournez le mélange à la cuillère de bois jusqu’à ce que la farine blondisse.

Ajoutez-les, salez et poivrez. Laissez cette sauce cuire doucement sans bouillir, une dizaine de minutes, afin qu’elle épaississe, en continuant de tourner. Incorporez le jaune d’œuf en fin de cuisson.

Beurrez un plat allant au four et couchez-y les filets de haddock.

Nappez-les de la sauce, parsemez de quelques noisettes de beurre, et saupoudrez de chapelure.

Mettez à cuire et gratinez à four chaud pendant 25mn.

Servez immédiatement dans un plat de cuisson.

Jean-Bernard contourna le lit et d’un mouvement de va et vient, lui caressa l’intérieur des cuisses, remontant jusqu’à la dentelle. Elayna ne bougeait pas. Elle savourait les caresses prodiguées. Jean-Bernard fit glisser lentement le tanga le long de ses jambes et tourna Elayna sur le côté de façon à ce qu’elle se positionne sur son côté gauche. Dans le mouvement, elle replia ses genoux. Jean-Bernard posa délicatement ses lèvres sur le haut de sa hanche dénudée et il la bécota de mille baisers. De l’autre côté du lit, sur le mur

, une armoire de style, réalisée par l’artiste Eugène VALLIN (1856-1922) reflétait l’image voluptueuse de la croupe d’Elayna. Jean-Bernard ne s’en était pas rendu compte. C’est  quand il passa sa main gauche sur la hanche et qu’il l’a fit descendre entre ses deux parties charnues, que le miroir se fit connaître et il admira sans réserve, cette partie offerte de l’anatomie d’Elayna qui frémissait de bonheur.

  • Viens, dit-t-elle.

Jean-Bernard avait remarqué

un pouf devant l’armoire. Il contourna le lit tout en commençant à dégrafer la ceinture de son pantalon. Arrivé au siège, bas et large capitonné et recouvert du même tissu que la couette, il fit glisser d’un seul mouvement son pantalon et son slip. Elayna s’était retournée et regardait, fascinée, Jean-Bernard vêtu de sa seule chemisette. Elle se leva, dégrafa sa jupe qui tomba sur la moquette, tandis que son compagnon s’asseyait sur le pouf. Elle s’avançait vers lui, se mit à califourchon sur ses genoux en écartant les jambes.