Le portable d’Éric sonna. Il décrocha.

• C’est le commandant
• Je vous ai reconnu commandant. Avez-vous de bonnes nouvelles à m’annoncer ?
• D’abord la demande d’extradition a été accepté par la France pour
• Il a été mis au courant ?
• Non, Monsieur l’ambassadeur m’a demandé votre avis. C’est le commissaire divisionnaire qui devrait lui annoncer.
• Hier j’étais avec lui pour la première interrogation, mais il ne voulait parler que s’il était extradé.
• Donc, en principe il devrait parler.
• J’espère. Et ?
• Inalya, veut vous parler en tête à tête.
• Elle est au courant que Malmaison a demandé son extradition ?
• Je ne le pense pas. Elle a peut-être des remords.
• Je ne crois pas. Elle veut négocier.
• Quand envisager vous d’aller la voir ?
• Demain matin. Mais avant je passe voir Jacquy.
• Alors à demain.

Son portable se remit à sonner. C’était Joao.

• Bonjour Joao.
• Bonjour Monsieur Surgères.
• J’allais vous appeler. J’ai eu beaucoup à faire ces temps-ci. Je passerais cet après-midi.

Je vous attends.