Jeudi 13 octobre 1988

Éric, décida de se rendre aux alentours du Palais Présidentiel pour intercepter le commissaire divisionnaire.

Il allait l’interpeler, mais que lui dire ? Il n’en avait aucune idée. Toute la soirée chez lui, il avait communiqué avec l’agence. Il avait exposé son problème, mais en dehors de se manifester physiquement pour le convaincre de se donner à cent pour cent pour connaître la vérité.

La voiture du commissaire allait passer la grille du palais présidentiel, quand Éric la bloqua.

Le fonctionnaire sortit de son véhicule et commença à invectiver cet individu en manque de civilité. Éric sorti aussi de son véhicule et :

• Bonjour Monsieur le commissaire.
• Monsieur Surgères, qu’est qui vous arrive ?
• Rien, ou plutôt, il fallait que je vous parle de Vous allez l’interro
  ger.
• Et qu’est-ce qu’il y d’important, en dehors de sa demande d’extradition ?
• Si vous pouviez le cuisiner sur sa participation à la recherche de la puce.
• Ah oui cette puce, qu’a-t-elle de si important ?
• D’après mon agence, elle contient des informations sur la nouvelle construction de l’EPR.
• La centrale nucléaire de Flamanville ?
• Oui cette puce est certainement partie en Chine à moins qu’elle ne soit encore sur votre territoire d’où cette déferlante d’incidents.
• Je comprends mieux Vous pouvez compter sur mon entière coopération. Je vous tiendrai au courant.
• Merci, Monsieur le commissaire. Une dernière faveur s’il vous plait. Pouvez-vous faire participer le commandant Lefebvre, mais en tant qu’observateur.
• Et vous, que diriez-vous d’y assister ?
• Bien sûr que oui.
• Alors je vous attends demain à onze heures.
• A demain.