L’avion de Sao-Tomé atterrit à l’heure sur le tarmac de Principe

Le vol quotidien était assuré par la compagnie STP Airways avec de vieux Dornier 228.

Dans le hall d’embarquement de l’aéroport surgit Jacquy qui attendait depuis la veille qu’Éric soit retrouvé. Elle s’était rendue à Principe dès que l’armée avait eu pour mission d’aller le secourir.

Le commandant Lefebvre était constamment en liaison avec elle et l’avait avertie que son ami avait été retrouvé et libéré.

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Le peloton s’était regroupé au pied de la bâtisse. Après avoir essuyé ces tirs fournis, ils reprenaient leurs souffles, heureusement il ne dénombrait aucun blessé. La surprise avait fait son œuvre.

Ils reprirent leur patrouille. Toutes les maisons de la rue des bâtiments coloniaux étaient inspectées une par une.

A leur surprise, ils remirent aux policiers locaux deux ressortissants qui dans un premier temps s’étaient enfuis mais vite rattrapés.

Ils reprirent leur marche.

La moitié du régiment avait été envoyé à l’aéroport.

Mais aucune trace de l’européen. Il ne s’était quand même pas volatilisé.

Malheureusement lors de l’affrontement tous les assaillants étaient morts, donc pas de renseignements qui auraient pu être arrachés.