21 octobre 2020
Légende
Longeville a sa pierre qui vire. On y rencontrait du « bé mouvais monde », certaines nuits. Sorciers et garçons s’y retrouvaient lorsque la Chasse Galery ne s’y arrêtait pas. Plusieurs jeunes hommes attardés y ont croisé la « garache » qui leur fit perdre du temps pendant que leur fiancée faisait des promesses à un rival.
C’est la première élection nationale depuis la fin de la Seconde guerre mondiale
Le projet soumis au référendum du 21 octobre 1945 prévoit une Assemblée constituante élue pour une durée limitée de sept mois. Les Français répondent favorablement aux deux questions posées par ledit référendun.
Les femmes et les militaires ont le droit de vote.
Le patron traiteur avait adossé une abaya, réplique de la tenue traditionnelle du roi Fahd ibn Abdelaziz, alluma le combustible solide de ce qui allait être un barbecue. Puis deux hommes posèrent un agneau enduit d’ingrédients sur les trépieds au dessus du brasier. Un homme resta en permanence près du foyer, tournant inlassablement une manivelle permettant de cuire l’agneau lentement sur toutes les coutures.
Le patron traiteur annonça que le dîner serait composé de différentes spécialités de Jordanie, de Syrie et du Liban. Les entrées furent portées par deux sujets. Il y avait un
grand choix de Mezzé, de Taboulé différemment
composé, et des Fatouch très parfumé.
A la 36ième minute, impérial, Thierry Henry pour l’équipe de France logea le ballon au fond des filets Saoudiens. Les hommes applaudissaient alors que les femmes continuaient de papoter. Une djellaba blanche demanda l’attention de l’assemblée et annonça que la maîtresse de maison avait préparée une surprise qui se renouvellerait à chaque but français ou saoudien.
Sur une musique de Warda et Samira Toufic, Fatima une jeune fille le la région de Marrakech-Tensilft-El Haouz, s’encadra dans l’entrée. Elle portait un costume des mille et une nuits, tout droit sorti de la caverne d’Ali baba, composé de voiles bleues sur un string et un mini soutien gorge en lamé argenté qui ne cachait que l’auréole de sa poitrine. Elle entama une danse du ventre du plus bel effet. Elle ondulait savamment du bassin, donnait d’excessifs coups de reins et se trémoussait parfois dans des positions qui ne pouvaient laisser indifférent l’assemblée.
A la mi-temps du match on apporta le Kebbe que le cuisinier avait préparé avec l’agneau qui continuait à dorer. Il était accompagné de Hoummous, purée de pois
chiche trempé une nuit dans le l’eau et amalgamée à l’huile de sésame d’une saveur et d’une odeur inimitable.
