28 juillet 2020

Le 28 juillet 1914, soit un mois après l’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand, héritier de l’empire austro-hongrois, et de son épouse la duchesse de Hohenberg, par le nationaliste Serbe de Bosnie, Gavrilo Princip, l’Autriche-Hongrie déclare la guerre à la Serbie. L’événement va faire basculer le monde dans un conflit de quatre ans.

Histoire

Le mois de juillet 1936 battit tous les records de pluviométrie avec 153 m/m, alors que la plus grande quantité de pluie enregistrée en juillet était auparavant de 126 m/m. Il plut, ce mois-là 24
jours sur 31.

 

Yona, une Singapura

comme son nom l’indique est originaire de Singapour. Jean-Bernard l’avait offerte à Elayna en revenant d’un séjour dans l’île. Il l’avait sorti clandestinement en 1984. Cette race vit communément dans les rues de la péninsule. Elle venait de naître quand Jean-Bernard la repéra avec sa mère au détour d’une poubelle à proximité de l’aéroport. Il l’avait saisie. Elle était si minuscule que personne, que ce soit la douane ou dans l’avion de la ligne régulière Cathay Pacific, n’avait entendu ou vu la petite chatte enveloppée dans un mouchoir dans la poche de son pantalon. Elle n’avait pas miaulée de tout le voyage. Jean-Bernard lui donnait dans les toilettes, le lait du thé au lait qu’il  commandait à l’hôtesse.

Jean-Bernard se dirigea vers la chambre. Il trouva les escarpins à talons hauts d’Elayna à l’entrée de la pièce, et comme le petit poucet, il suivit et ramassa sur la moquette verte caca d’oie, une veste croisée bleue pure soie, une combinette de soie ton champagne incrustée de dentelle de Calais, un soutien gorge balconnet blanc en maille nid d’abeille à dentelles, un tanga de même couleur et de même dentelles, qui l’avait conduit à la salle de bain.

Elayna était dans la douche. Jean-Bernard déposa les

             

vêtements sur le  canapé Louis XIV en bois sculpté et doré, garni de velours de Gènes. Il attendit quelques minutes. Il scruta la pièce. Yona n’était pas là.

Elayna avait fini sa douche. Elle endossa un peignoir jaune pamplemousse, et se posta debout face à la vasque du lavabo blanc écru de la salle de bain. Elle fixait le miroir et vit dans son dos Jean-Bernard s’approcher. Elle ne se retourna pas. Il se posta derrière elle, glissa une main sous le peignoir et caressa un sein ferme. De l’autre main, il défit la cordelette retenant les deux pans du peignoir qui s’ouvrirent,  et l’ensemble glissa le long du  corps jusqu’à terre.