7 juin 2020

Fête des mères.

 Maman,

Je ne vais pas être ordinaire

Et je t’écris ce petit poème

Pour te montrer que je t’aime.

En ce jour si spécial

Je pense très fort à toi.

Je te dis que tu as été géniale

Et tu resteras toujours près de moi.

Tu as été sincère, aimante,

Gentille, honnête, charmante,

Vigoureuse, généreuse,

Et toujours aussi heureuse.

Ce qui fait qu’aujourd’hui

Je t’embrasse très fort

Et je te le redis encore

Bonne fête ma Maman chérie.

 

 

 

Au moment où ils regagnaient la salle du restaurant, l’hôtelier qui vaquait entre la cuisine et la salle du restaurant, leur adressa un signe de compassion. Ils prirent place à une table, près d’une baie vitrée entrouverte, dont la vue donnait sur les grottes. Elayna consulta   la carte du menu gastronomique  sans prix réservée aux dames.

      

Elle fit un signe au maître d’hôtel et lui demanda d’une petite voix, presque à chuchoter.

  • C’est vraiment des cuisses de …

Elayna ne put terminer son interrogation. Jean-Bernard lui avait retiré d’un geste rapide et précis la carte. En principe, le garçon ne donnait cette carte qu’aux personnes ayant visité les grottes. Il s’excusa et remis une nouvelle carte à Elayna.

  • Si je comprends bien, je n’ai pas le droit de savoir.
  • Si, si chérie, je t’expliquerais tout à l’heure.

Ils déjeunèrent rapidement, tout en arrêtant l’ordonnancement de la soirée d’anniversaire d’Elayna, prévue pour jeudi soir.

  • C’est super, dit-elle, mais tu t’occupes de tout.
  • Bien sur ma chérie.

Jean-Bernard demanda l’addition, mais le maître d’hôtel l’informa qu’ils étaient les invités du propriétaire. Ils se levèrent, et passèrent par les cuisines pour remercier vivement le restaurateur.

Vents de liberté