6 juin 2020


6 juin 1944

Le débarquement de Normandie

Suivant les plans de l’opération « Overlord« , près de 5 000 navires débarquent 130 000 hommes sur 35 kilomètres de plage en Normandie. La nuit précédente, des parachutistes ont été lâchés derrière les lignes allemandes et les avions alliés ont commencé à bombarder les fortifications du « mur de l’Atlantique« . Ce débarquement, placé sous le commandement du général américain Eisenhower, était secrètement préparé depuis plus d’un an en Angleterre. Fin juillet, les Alliés auront débarqué pas moins de 1 500 000 hommes sur le sol français. En mai 1945, l’Allemagne capitulera


6 juin 1954

La création de l’Eurovision

L’Union européenne de radiodiffusion et de télévision (UER), organisme groupant les pays de l’Europe occidentale, est fondée.

s’avança lentement dans la pièce plongée dans une demi-obscurité. Les doubles rideaux de la fenêtre étaient à peine fermés, empêchant de soleil de ternir l’ameublement raffiné.

  • Je compte jusqu’à trois, dit Jean-Bernard après avoir refermé la porte derrière eux.

Rapidement Elayna égrena 1, 2 et tout en prononçant 3, elle s’élança et sauta dans un super vol plané sur la couette imprimée du lit. Jean-Bernard, n’avait pas bougé. Elayna,  était tombée sur le ventre, la jupe relevée jusqu’à la taille, laissant apparaître le tanga tout en dentelle violette. Jean-Bernard contourna le lit et d’un mouvement de va et vient, lui caressa l’intérieur des cuisses, remontant jusqu’à la dentelle. Elayna ne bougeait pas. Elle savourait les caresses prodiguées. Jean-Bernard fit glisser lentement le tanga le long de ses jambes et tourna Elayna sur le côté de façon à ce qu’elle se positionne sur son côté gauche. Dans le mouvement, elle replia ses genoux. Jean-Bernard posa délicatement ses lèvres sur le haut de sa hanche dénudée et il la bécota de mille baisers. De l’autre côté du lit, sur le mur, une armoire de

style normande à glace, reflétait l’image voluptueuse de la croupe d’Elayna. Jean-Bernard ne s’en était pas rendu compte. C’est  quand il passa sa main gauche sur la hanche et qu’il l’a fit descendre entre ses deux parties charnues, que le miroir se fit connaître et il admira sans réserve, cette partie offerte de l’anatomie d’Elayna qui frémissait de bonheur.

Viens, dit-t-elle

Jean-Bernard avait remarqué un pouf devant l’armoire. Il contourna le lit tout en commençant à dégrafer la ceinture de son pantalon. Arrivé au siège, bas et large capitonné et recouvert du même tissu que la couette, il fit glisser d’un seul mouvement son pantalon et son slip. Elayna s’était retournée et regardait, fascinée, Jean-Bernard vêtu de sa seule chemisette. Elle se leva, dégrafa sa jupe qui tomba sur la moquette, tandis que son compagnon s’asseyait sur le pouf. Elle s’avançait vers lui, se mit à califourchon sur ses genoux en écartant les jambes. Il la saisit

              

frénétiquement des deux mains. Il la  soulevait lentement  et progressivement elle s’empala.

Bien camper sur ses jambes, elle prit la direction des opérations. Sentant une certaine mollesse en elle, elle prodigua plusieurs  va et vient saccadés. Jean-Bernard reprit de toute sa superbe. Elayna souleva très, très lentement son bassin, jouant avec son sexe de petites pressions, en remontant le long de la verge de son partenaire.  Parvenu à l’extrémité, elle retint son souffle, se contrôla, pour ne pas laisser échapper ce qui restait en elle. En suspension, elle maintenait son étreinte par des pressions successives. Jean-Bernard haletait. Puis d’une lenteur démoniaque, elle se laissa glisser par à-coup, comme un alpiniste en rappel, jusqu’à la base du phallus.  Elle entreprit de remonter avec la même dextérité, mais elle eut un orgasme si violant qu’elle retomba, engloutissant tout sur son passage. La réaction de Jean-Bernard ne se fit pas attendre, et c’est par un feu d’artifice spermatique, qu’il illumina le ventre d’Elayna. Epuisés, ils restèrent un instant immobile. Ils s’embrassèrent à en perdre haleine.

Ils se rhabillèrent. Puis ils remirent en état le lit avant de sortir de la chambre.

Vents de liberté

Clins d’œil