29 avril 2020

suite

• Quand pensez-vous mon cher Raoul ?

Raoul ne quittait pas des yeux la poitrine de Sylvaine. Ses

seins étaient en forme de poire, comme la Louise Bonne et il pensa qu’ils avaient dus être hauts placés, ferme comme la bergamote réputée au contour les mieux dessinés. Il restait subjugué. Elle tournait, virevoltait sur elle-même. Elle s’arrêta brusquement, pris le tabouret qui se trouvait dans un coin de la cabine et elle vint d’asseoir devant Raoul. D’une main habile elle fit glisser la fermeture « Eclair » du pantalon, défit la ceinture de cuir et d’un geste calculé, descendit le pantalon et le slip jusqu’aux chaussures. Avant qu’il ne dise quelque chose, elle l’avait entrepris, d’abord d’une main, puis de la bouche. Sentant son plaisir près à se libérer, il s dégagea, se baissa près à remonter son pantalon. Mais Sylvaine ne voulait pas en rester là. Elle se leva, se retourna, se courba, posa une main sur le bord du tabouret et le l’autre main déplaça la fine dragonne et c’est deux fesses qui s’offraient à Raoul.

• Vient dit-elle.

Il ne se le fit pas dire deux fois. Aussi il passa à l’abordage et c’est sans résistance qu’il se fraya un passage dans un fourreau baigné de plaisir. Sylvaine ne perdait rien de sa soumission et tournait la tête en direction de toutes les faces des miroirs. Raoul prit son plaisir immédiatement. Se retirant, il s’excusa d’avoir été aussi rapide, subodorant qu’elle n’avait pas jouie.

• C’était bien pour toi ? dit-elle passionnée.
• Oui, mais toi ?
• C’était plus que je ne l’espérais. Promets moi de rester toute la nuit mercredi prochain.
• Bien sur, mais si tu veux je peux rester ce soir.
• Oh oui, soupira –telle. J’en suis toute retournée.

Ils montèrent au premier étage où était situé un petit appartement. Sans préambule, ils passèrent dans la chambre. En deux temps trois mouvement elle était entièrement nue après avoir enlevé sa parure fuchsia. Raoul mis plus longtemps à enlever ses vêtements. Elle vint l’aider quand il retira son slip. Elle s’agenouilla et attira la virilité de son partenaire dans sa bouche. Elle s’activa goulûment, juste de quoi, pour que l’objet de son unique renaissance soit à sa convenance. Elle le suça sans précipitation, savourant chaque centimètre. Elle le maintenait à une hanche d’une main et de l’autre elle l’avait passée entre ses cuisses, caressant ses fesses remontant jusqu’à l’orifice du rectum, qu’un doigt voulut introduire. Surpris devant tant de perversité, il recula. Elle le regarda droit dans les yeux, comme pour lui dire qu’elle ne lâcherait pas prise