27 avril 2020

27 avril 1848

Abolition de l’esclavage dans les colonies françaises

L’abolition de l’esclavage a tout d’abord été mise en place durant la Révolution française en 1792 grâce à Henri Grégoire. Sous Napoléon Bonaparte, elle est restaurée. C’est en 1848, lors du gouvernement provisoire de la Deuxième République, que la mesure est définitivement adoptée. Victor Schoelcher, sous-secrétaire du ministre François Arago, est en grande partie responsable de l’adoption du décret d’abolition de l’esclavage dans les colonies françaises, le 27 avril 1848.

27 avril 1994

Mandela président

Lors des 1ères élections démocratiques d’Afrique du Sud, Nelson Mandela est élu président. En 1964, le leader de l’African National Congress (ANC) avait été condamné à la prison à vie.

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Jean-Bernard faillit rire, car il ne voyait pas du tout Raoul dans cette activité, mais pourquoi pas, il présentait bien.

  • Et cela n’a pas marché ?
  • Les patronnes de magasins. On passe un temps infini avec ces dames, toujours indécises. «Est-ce que ma clientèle aimera.. et patati et patata» Jamais contente surtout si au cours du mois suivant elles n’avaient pas vendues une culotte ou un soutien-gorge.
  • Je ne sais pas si tu était dans ton élément, mais tu as du rencontrer de jolie femme.
  • Pour celui oui. De tous les âges.
  • Tu as dragué une d’entre elles ?

Raoul avait instinctivement baissé la tête comme un enfant qui avait quelque chose à cacher ou se faire pardonner.

  • Raconte ?
  • Vous me mettez mal à l’aise.
  • Raconte c’est du passé. Comment était t-elle ?
  • Agée.
  • Agée, une dizaine d’année de plus que toi ?
  • Bien plus que cela.

En 1987, Raoul avait quarante et un ans.

  • Alors quel âge avait-elle ?
  • Soixante et onze ans.
  • Soixante et onze ans ce n’est pas âgé.
  • Cela fait tout de même trente ans d’écart avec moi. Cela ne vous choque pas ?
  • Vous savez, on ne s’est vu que quatre fois.
  • Raconte quand même.

A la première visite de Raoul, sa cliente voulait absolument essayer tout ce qu’il lui présentait. Elle n’avait aucun complexe. Elle ressortait de la cabine d’essayage avec autant de désinvolture qu’une enfant en quête de reconnaissance. Et c’est en petite culotte et en soutien-gorge qu’elle se pâmait devant lui en demandant, si cela lui allait bien, si elle était bien maintenue, si la couleur lui allait au teint, si sa poitrine n’était pas trop relevée, si, si.. Raoul suivait les essayages avec étonnement.

Sa cliente Sylvaine, veuve était propriétaire d’un magasin

de lingerie fine, au délicieux nom « Exquis-sous ». Svelte, un mètre soixante douze, les cheveux colorés châtains foncés avec des mèches blonds cendrés, coupés en brosse lui faisait ressortir de minuscules rides mais estompées par la clarté de ses yeux d’un bleu pers sublimant. Adepte de la culture physique, le temps semblait n’avoir aucune prise sur elle.

  • Raoul, avait-elle dit, Mercredi prochain, j’ai une cliente qui aimerait acheter des dessous plus sexy que ceux que j’ai en magasin. Auriez-vous dans la collection de cette année quelques modèles à faire voir ?

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