26 mars 2020

Première victime du Choléra à Paris

Après avoir franchi les frontières de l Europe  occidentale dès 1829, le  cholera tue sa première   victime parisienne. La maladie se propage et fait de nombreuses victimes tout au long du mois d’avril, avant de se faire encore plus meurtrière durant le mois de juin.

Mars 2020

Le coronavirus a fait sa première victime française, un homme de 60 ans, mort à Paris

Un sexagénaire contaminé par le coronavirus Covid-19 est décédé dans la nuit de mardi à mercredi, à l’hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière.

suite

La première fois qu’il rencontra Jacquyne, c’était en 1986,

sur le vol Paris Roissy Charles de Gaulle – Douala. A cette époque, il pensait pouvoir rejoindre São Tomé par le Cameroun ou par le Gabon. C’était une erreur. L’île  était reliée à Lisbonne avec une escale à Abidjan en Côte d’Ivoire ou de Luanda en Angola. Dans l’avion, jacquyne était assise entre lui et son compagnon Yamyané. Celui-ci avait rejoint ses compatriotes en queue de l’avion et l’avait délaissé pendant tout le vol. C’était son premier voyage en Afrique. Anxieuse, elle était ravie de parler avec un compatriote, surtout quand Jean-Bernard lui fit la confidence qu’il avait connu celle qui partageait sa vie et son bonheur depuis 1960, dans l’île de Groix.

  • Je suis native de Port-Tudy, dit-elle enthousiasmée.
  • Ah ! « qui voit Groix voit sa joie», répliqua Jean-Bernard.
  • Vous savez que certaines mauvaises langues affirment que « l’on y voit sa croix ».

Au cours du voyage, elle avait éhontément  cherché à flirter. Regrettait-elle déjà sa nouvelle vie. Jacquyne était une superbe blonde d’un mètre soixante et un. Ses

                              

cheveux torsadés étaient agrémentés de natte à la rasta. Le visage halé faisait ressortir ses grands yeux pistache en forme d’amandes et une bouche pulpeuse à peine rosie. A l’aéroport de Douala il l’avait perdu de vue dans la salle de récupération des bagages. C’est dix jours plus tard, repartant pour Paris qu’il revit Jacquyne et Yamyané au détour de l’avenue Kennedy, l’avenue commerçante de Douala. Ils n’avaient pas encore rejoint le village de Kaélé. Yamyané voulait présenter sa blonde conquête à ses frères, cousins et amis de Douala.

Portrait de femmes

 

cliquez sur la boutique pour faire votre choix