7 janvier 2020

Je suis charlie

Charlie Hebdo

Assassinat des dessinateurs de Charlie Hebdo

 

L’attentat contre Charlie Hebdo est une attaque terroriste islamique   perpétrée contre le journal satirique Charlie Hebdo le 7 janvier 2015  , jour de la sortie du numéro 1 177 de l’hebdomadaire. C’est le premier des  attentas de janvier 2015 en France .

Vers 11 h 30, les frères  Cherif et Saîd Kouachi   pénètrent dans le bâtiment abritant les locaux du journal armés de fusiols d’assauts et y assassinent    onze personnes, dont huit membres de la rédaction.

Les victimes de la  tuerie sont les dessinateurs Cabu, Charb, Honoré, Tignous et Wolinski    la psychanalyste Elsa Cavat  , l’économiste Bernard Maris, le policier Franck Brinsolaro  qui assurait la protection de Charb, le correcteur  Mustapha Ourrad Michel Renaud  cofondateur du festival Rendez vous du carnet de voyage   invité pour l’occasion, et Frédéric Boisseau  , un agent de la société Sodexo  , chargée de la maintenance du bâtiment.

 

suite

Jean-Bernard nageait. La recommandation du docteur Martellon l’avait séduit. Il effectuait quelques brasses, un peu de crawl, dans le bassin encore recouvert du dôme en PVC blanc que Elayna avait fait coulisser électriquement en arrivant. Jean-Bernard fit un signe et Elayna le compris pour une invite. Sans hésitation, elle se déshabilla, laissant ses vêtements à même le carrelage uniformément blanc entourant le bassin à l’exception de l’entourage bleu de l’échelle permettant de sortir du bain.

Nue, elle plongea sans une éclaboussure dans une eau bleue éclairée par des projecteurs sous-marins. Elle effectua la distance sous l’eau pour rejoindre Jean-Bernard. Ils parcoururent ensemble côte à côte plusieurs longueurs, sans esprit de compétition, simplement pour le plaisir de nager. Elayna s’arrêta la première. Elle sortit du bain, chercha une serviette de bain rangée sur une étagère dans un angle de mur, s’essuya brièvement le visage et l’entoura sur ses cheveux. Elle s’agenouilla le dos face à l’eau, pour prendre ses vêtements et Jean-Bernard admira ce corps nu et sentit monter rapidement en lui le désir suprême. Elayna se retourna et instinctivement se rendit compte de l’état de Jean-Bernard. Il avait les yeux brillants exorbités de désir. Elle laissa choir ses vêtements et sauta à pieds joints dans le bassin. Le contact de l’eau avait rejeté la serviette qui entourait ses cheveux et elle nagea à sa rencontre.  Elle se posta le dos à la paroi carrelée, se maintenant d’un bras au bord, elle croisa dans un premier temps les jambes autour de la taille de Jean-Bernard.  Puis elle glissa une de ses jambes le long de sa cuisse et offerte, Jean-Bernard l’a saisit d’un coup si violent qu’Elayna lâche le bord du bassin. Ils se retrouvèrent sous l’eau. Leurs corps entremêlés, ils touchèrent le carrelage du fond

. Jean-Bernard y pris appui et d’un coup de reins ils remontèrent à la surface. Pendant leur ascension Elayna maintenait toujours Jean-Bernard en elle et le visage à l’air libre, les yeux remplis de bonheur, elle l’invita, regardant le bord du bassin, à poursuivre leurs ébats hors de l’eau.

 

Peinture

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