9 décembre 2019

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La conseillère alluma son ordinateur, demanda l’adresse du lieu de son séjour et l’imprimante cracha le document qu’elle tamponna de plusieurs cachets, le signa et le remit à Jean-Bernard. Elle repris son agenda, tourna les page jusqu’au mois d’août et demanda.

• Le lundi 24 août. A non, je rentre de vacances ce jour là et je n’aime pas recommencer par des rendez-vous. Le 25. Mardi 25, vous y voyez un inconvénient ?
• Pas du tout.
• Vas pour le Mardi 25 août, dit-elle.

Jean-Bernard se leva et pris congé de la conseillère.

• Bonnes vacances, dit-elle.

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Arrivé devant l’usine Jean-Bernard stoppa son véhicule

devant la grille, prit le courrier de  la boire à lettre portant son nom, juxtaposant celle de l’usine. Il en extraie un avis de lettre recommandée qui était à retirer à la poste de son village. C’était sûrement sa lettre de licenciement. Raoul avait mis à exécution le plan de s’approprier la société.

Jean-Bernard fut accueilli par Phymoména et Géraldyne comme le messie.

• Vous allez mieux Monsieur, que vous est-il arrivé ? demanda Géraldyne. Monsieur Ganelon nous a seulement dit que vous étiez à l’hôpital et que vous seriez de retour la semaine prochaine.
• Je vais bien, merci. Maintenant tout va bien. Raoul est en nos murs ?
• Non, répondit Pyloména. Il est en rendez-vous, amis ce matin il a ouvert le courrier et est parti vers midi. Qu’est ce qui se passe ?
• Je vous expliquerais plus tard. As t-il téléphoner en passant par vous ?
• Il a appelé Sébastien chez Citroën. Voulez-vous un café ?
• Oui, merci.

Dès la porte de son bureau franchit, il vit tout de suite qu’il

avait été bien visité. Certaines  piles de dossiers avaient été déplacées et mal rangées. Chaque dossier, par année,  avait une couleur bien définie. Jaune pour 1996, verte pour 1997 et bleu pour cette année 1998.