4 décembre 2019

4 décembre 1960

Premier numéro de la revue « Hara-Kiri »

Un nouveau magazine de bande dessinée réservé aux adultes apparaît dans les kiosques français. Mais dès le mois de septembre les premiers numéros d Hara-Kiri  avaient déjà été vendus uniquement par colportage

suite

Le roi lors de son procès dit  « Il m’a  ravi vingt mille de mes Français, et mon neveu que vous ne verrez plus, et Olivier, le preux et le courtois : les douze pairs, il les a trahis pour de l’argent » Ganelon répondit

« Roland m’avait fait tort dans mon or, dans mes biens, et c’est pourquoi j’ai cherché sa mort et sa ruine »

Jean-Bernard n’avait rien dit.

  • Il dort, nous attendons qu’il se réveille.
  • Est-ce que je peux venir le voir ?
  • Non, c’est inutile pour l’instant, je vous préviendrai. N’affolait pas le personnel. Vous pouvez dire que Monsieur Géraud est à l’hôpital sans autres précisions.

Elle avait essayée de le mettre en garde, sachant qu’il avait tendance de fabuler. Il enjolivait ou aggravait les nouvelles selon ce qu’il l’arrangeait. Elle coupa son téléphone portable.

Muryelle accompagnée d’une infirmière entra.

  • Comment vas t-il ? demanda Elayna.
  • D’après le médecin chef, il n’y a pas lieu de s’inquiéter. En principe il devrait se réveiller dans quelques heures.
  • Nous pouvons rester ?
  • Oui, pas de problème. Dès qu’il se réveille prévenez moi.

A dix heures quinze, il bougea, tourna la tête, dévisageant la pièce où il était et voyant Elayna et Muryelle à ses cotés, il s’inquiéta.

–    Qu’est ce que l’on fait ici tous les trois ?

–    Tu as fait un malaise. Du moins tu as perdu la

mémoire depuis hier matin. Tu es à l’Hôpital.

  • Je vois bien, dit-il, sur son ton habituel. Appel quelqu’un, on va partir.

 

 

Peinture

« Portraits de femmes »

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« Roland m’avait fait tort dans mon or, dans mes biens, et c’est pourquoi j’ai cherché sa mort et sa ruine »

Jean-Bernard n’avait rien dit.

  • Il dort, nous attendons qu’il se réveille.
  • Est-ce que je peux venir le voir ?
  • Non, c’est inutile pour l’instant, je vous préviendrai. N’affolait pas le personnel. Vous pouvez dire que Monsieur Géraud est à l’hôpital sans autres précisions.

Elle avait essayée de le mettre en garde, sachant qu’il avait tendance de fabuler. Il enjolivait ou aggravait les nouvelles selon ce qu’il l’arrangeait. Elle coupa son téléphone portable.

Muryelle accompagnée d’une infirmière entra.

  • Comment vas t-il ? demanda Elayna.
  • D’après le médecin chef, il n’y a pas lieu de s’inquiéter. En principe il devrait se réveiller dans quelques heures.
  • Nous pouvons rester ?
  • Oui, pas de problème. Dès qu’il se réveille prévenez moi.

A dix heures quinze, il bougea, tourna la tête, dévisageant la pièce où il était et voyant Elayna et Muryelle à ses cotés, il s’inquiéta.

–    Qu’est ce que l’on fait ici tous les trois ?

–    Tu as fait un malaise. Du moins tu as perdu la

mémoire depuis hier matin. Tu es à l’Hôpital.

  • Je vois bien, dit-il, sur son ton habituel. Appel quelqu’un, on va partir.