20 novembre 2019

Journée Internationale des droits de l’enfant

« Rien n’est plus important que de bâtir un monde dans lequel tous nos enfants auront la possibilité de réaliser pleinement leur potentiel et de grandir en bonne santé, dans la paix et dans la dignité. »
Kofi A. Annan, secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies

C’est en 1996 que le Parlement français a décidé de faire du 20 novembre la « Journée Mondiale de défense et de promotion des droits de l’enfant » (loi 96/296 du 9 avril 1996). Cette journée internationale est un moment privilégié pour se rendre compte des nombreuses injustices perpétrées contre les enfants dans le monde. Elle tente aussi de faire valoir la convention internationale des droits de l’enfant de 1989.

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Il appela son frère Cyrille de son portable. Le voyant téléphoner elle pensa que tout était plus ou moins renté de l’ordre, mais ce n’était pas encore le cas. Malgré que son vocabulaire était un peu plus étendu puisqu’il déclarait à son frère qu’il se trouvait à l’hôpital, mais terminait ses phares toujours par

  • Je ne sais pas quel jour nous sommes.

Cyrille lui demanda de lui passer Elayna, ce que Jean-Bernard fit sans hésitation.

  • Oui, donna t-elle comme réponse et poursuivant, il semble avoir de temps en temps des éclairs de lucidité et qu’à l’hôpital il ferait les examens nécessaires pour connaître le degré de ses absences de mémoire.
  • As-tu alerté mes parents.
  • J’attends le diagnostic du médecin.
  • Rappelle moi dès que tu en sauras plus sur son état, avait-il conclu avant de raccrocher.

L’interne de garde suivit s’une infirmière annonça.

  • Monsieur Géraud.

Elayna acquiesça de la tête pour Jean-Bernard. Elle le prit par le bras et emboîtèrent leurs pas, suivi du docteur Martellon. Arrivé dans une chambre qui ne comprenait qu’un lit, une chaise, on demanda à Jean-Bernard de

    

s’allonger sur le lit. L’infirmière lui prit sa tension artérielle

qu’elle communiqua à l’interne, 13.8.

  • Madame, vous pouvez rester ici, le médecin chef sera là dans quelques minutes, dit l’interne qui quitta la pièce avec l’infirmière.

Elayna tenait la main de Jean-Bernard et lui parlait, retenant son désarroi. Et inlassablement il répétait toujours la même phrase.

Le médecin chef accompagné d’une escouade d’internes et d’infirmières entrèrent dans la chambre.

  • Comment vous appelez-vous Monsieur ?
  • Je ne sais pas quel jour nous sommes.
  • Savez-vous ou vous vous trouvez ?

Même réponse. Le médecin chef poursuivi.

  • Quel jour sommes nous ?

Même réponse.

  • Asseyez-vous sur le bord du lit.

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