9 novembre 2019

suite

Là, il prit le

P.C intérieur, petite ceinture, et descendit Porte Champerret.

• Vous venez me rejoindre ?
• J’arrive, dit Jean-Bernard ravi de voir comment aller se dérouler la suite des événements.

Au moment où il allait monter dans sa DS 19, sa secrétaire lui fit signe par la fenêtre  d’une communication téléphonique. C’était la police.

• Vous l’avez retrouvé ? Où est-il ? avait-il demandé innocemment.
• A Montrouge.
• Quand pourrons nous le récupérer ?
• Aujourd’hui, mais il faudra passer au commissariat. Nous vous attendons.
• Est-ce que je peux vous envoyer un collaborateur à ma place ?
• Oui, avec un pouvoir le mandatant, avait répondu l’inspecteur.
• Bien, je vous envoie mon contremaître et le chauffeur du camion en fin de matinée.

Il donna des ordres à Josyane, sa secrétaire, de préparer le pouvoir au nom de Raoul Ganelon et de prévenir José, et lui demanda si de mémoire elle connaissait l’adresse de Robert Dupin.

• Oui, répondit-elle, c’est rue des Dames Augustines à Neuilly.
• A Neuilly ?
• Oui, près de la porte Champerret.

A la porte Champerret, Jean-Bernard repéra la Simca aronde, équipée d’une CIBI,  de Raoul stationnée près de la cabine téléphonique. Il alla s’asseoir près de lui.

–   Où en est-on ?

–   Il est toujours là. De temps en temps il sort pour voir si quelqu’un arrive.

–   Tu penses que c’est Robert Dupin qu’il attend ?

–   Oui. Ils se sont déjà rencontrés dans ce bar, alors…

Ils attendirent une bonne heure. Robert Dupin s’installa

à la terrasse, commanda un café et son complice le verre de bière à la main le rejoignit.

• On y va, dit- Jean-Bernard.

Ils traversèrent la chaussée et se présentèrent devant eux.

• Bonjour Robert.