28 septembre 2019

28 septembre 1958
Naissance de la Cinquième République
Les Français approuvent massivement (à 79,25 %) le  référendum sur la nouvelle constitution   proposé par le général de Gaulle   . Le texte instaure un régime semi-présidentiel où les pouvoirs du président   sont étendus et ceux du  Parlement   réduits. Le Président du conseil    disparaît pour laisser place au Premier Ministre  .

 

 

suite

  • . Remy avait décidé que nous dînerions à la villa de ses parents. Nous avons fait les courses avant de rejoindre une villa de style baroque, grande, très grande. Remy nous montra les chambres à l’étage. Celle d’Elayna était spacieuse et de couleurs vives. La mienne avec Chrystian était typiquement basque. Nous avons déposés nos bagages sans les défaire et nous sommes redescendus au salon pour prendre un apéritif. Les meubles étaient recouverts de draps. Nous faisions très attention de ne rien bousculer. Rémy, Chrystian et moi passèrent à la cuisine, nous commencions à avoir très faim. Elayna était remontée dans sa chambre, elle voulait prendre une douche avant de dîner. Une demie heure après j’allais en faire autant quand … J’ai montée les marches deux à deux. Au moment où j’atteignais l’étage des hurlements entrecoupés de cris et de supplications éclatèrent de la chambre d’Elayna. Je me suis précipitée débouchant dans la chambre à demi éclairée par un filet de lumière d’un réverbère municipal projeté de la rue. Elayna était arc-boutée au sol, tenue aux hanches par un individu collé à son dos. Sans se préoccuper de moi, la brute immonde continuait à abuser d’ Elayna. Effrayée, je me suis jetée éperdument les deux pieds en avant sur le monstre qui continuait à s’acharner sur le corps inerte

                   

  • de ta grand-mère, et je l’ai touché au visage avec mes chaussures. Frappé à la tempe, le sang de la brute coulait abondamment et maculait les vêtements d’Elayna retroussés jusqu’à la nuque. L’agresseur poussa un cri énorme, lâcha sa proie, virevolta comme un éclair dans ma direction. Le barbare aveuglé par son sang, la bouche écumant, se rua sur moi. Je lui décochai avec une force insoupçonnée un coup de pied dans les partis. Il se plia en deux et bondit sur moi. Je tombais à la renverse avec le fruste sur moi. Le choc fut brutal. Je me souviens seulement d’avoir planté tous mes ongles sur le visage du forcené manquant d’un cheveu ses yeux