18 août 2019

suite

Elayna trémoussa. Jean-Bernard entreprit de pousser plus haut ses caresses, mais elle se dégagea et murmura.

  • Pas ici mon chéri, viens j’ai froid, remontons à la voiture.

        

Le véhicule de location était un petit break dit  « méhari ». Aussi, il ne voulait pour rien au monde, faire subir à l’amour de sa vie, dans un réduit aussi peu confortable, son élan.

  • Nous rentrons ! dit-il.
  • Si tu veux. On avisera sur place, rassura t-elle.

Ils retrouvèrent leurs amis sur la piste de danse. La lumière avait été tamisée pour favoriser un slow. Audrey qui se langourait avec le photographe de service, s’aperçut de leur retour. Ils avancèrent sur la piste et terminèrent la danse tendrement enlacé. Elle dit.

  • Je suis bien avec toi. Je voudrais que cela ne cesse jamais.
  • Cela ne tient qu’à toi, dit Jean-Bernard.