10 août 2019

suite

Audrey se rendit compte de l’état d’excitation de son ami. Par amusement, elle décida de suivre son comportement, tant qu’elle le pourrait.

Elayna, était majestueusement grande, un mètre soixante dix sept de perfection. Des cheveux auburn sculptés, tombaient sur des épaules étroites, un faciès des plus agréable avec des yeux noisette, que l’on dit les plus agréables du monde. Des lèvres bien dessinées, une poitrine haute, bien modelée, une cambrure de reins sans égale, des fesses bien arrondies, fermes sur de longues jambes fuselées.

Audrey précéda le petit groupe et prit la direction du centre du village, sur les hauteurs de l’île.

  • Qui m’aime, me suis, avait-elle lancée en levant la main.

Arrivée devant un bâtiment, propriété de ses parents, qui faisait office de refuge uniquement pendant les vacances, Audrey, précisa que Alayna, Adelyne et elle-même, occuperaient les chambres du premier étage à droite de l’escalier. Les autres femmes utiliseraient les chambres suivantes. Les hommes coucheraient sous les combles

                  

aménagés en dortoir.

  • Rendez-vous à dix neuf heures dans le hall. Tenue décontractée pour tous, annonça-t-elle.

Après un brin de toilette, Jean-Bernard, s’apprêta et regagna le hall, habillé d’une chemisette de soie bleu azur, d’un pull « Lacoste » blanc, jeté négligemment sur les épaules et d’un pantalon alpaga bleu marine.

Le groupe mêlé à des estivants, était massé dans le hall, un verre de champagne à la main et attendait l’invitée d’honneur. Le photographe de mode attitré de la maison « Yves Saint Laurent » et un autre de la presse people invité, armaient leurs appareils et prirent position au bas de l’escalier. Elayna fit son apparition. Radieuse, majestueuse, elle entreprit avec distinction de descendre lentement les marches une à une, s’arrêtant au milieu de l’escalier.