29 mars 2019
Bernard Blier – décédé le 29 mars 1989
« L’expérience est un peigne que vous donne la vie quand vous êtes devenu chauve »
Bernard Blier
Après des études au lycée Condorcet Bernard Blier suit les cours d’art dramatique de Julien Bertheau et de Raymond Rouleau . Refusé trois fois au conservatoire, il persévère suivant les conseils de Louis Jouvet , et finit par entrer dans la prestigieuse institution. Jouvet, devenu son professeur, l’encourage à jouer au Théâtre
29 mars 1949
Fondation de « Paris-Match »
L’homme d ‘affaires français Jean Prouvost t lance une nouvelle formule du journal sportif « Match » qu’il a racheté en 1938. Le nouveau magazine d’actualité s’appelle désormais « Paris-Match »
29 mars 1967
La France lance le « Redoutable »
Le premier sous-marin nucléaire français est mis à l’eau dans le port de Cherbourg. Le navire de 7 500 tonnes, possède une capacité d’armement allant jusqu’à 16 missiles. Dans la lignée du « Redoutable » un deuxième sous-marin nucléaire sera lancé en décembre 1969, le « Terrible ».
Fête à souhaite : SAINTE GLADYS
Nous fêtons les GLADYS mais aussi Berthold et Archibald. Glays est une variante anglaise de Claudia. On peut aussi lui trouver une origine anglo-saxone, et dans ce cas, il signifie le pays en gallois. Assez discret jusqu’au 19ème siècle, Gladys remonte dans les sondages au 20è siècle en Grande Bretagne, mais il reste encore confidentiel en France.
Reine d’une province galloise. Elle mena une vie légère avant de se retirer dans la vallée de l’Ebbee.
Pont de l’île de Ré
Précurseur des péages
Mais on ne se contentait pas de ce qui passait sur le pont. Il fallait également payer pour passer dessous ! L’impôt était même encore plus lourd pour les bateaux neufs, le jour de leur lancement. Cet impôt portait le nom de « droit de lançage » dans la marine de Loire dont Chateauneuf sur Loire était l’un des fleurons – allez voir son musée de la marine de Loire-.
Le péage sur les ponts comportait il est vrai des devoirs de la part des seigneurs ou des collectivités, le plus souvent religieuses, propriétaires du pont et du terrain sur lequel l’ouvrage était construit. Contre ce droit de péage, les responsables devaient entretenir le pont en bon état, entreprise souvent très coûteuse en cas de crue.
Ces recettes et dépenses concernant les ponts à Orléans datent de 1356. La suppression de tels droits figurait parmi les souhaits exprimés par les cahiers de doléances avant 1789.
En réalité la méthode n’a jamais été abandonnée. Elle a largement fait école, par exemple pour les péages d’autoroute, certains ponts parmi les plus récents, et d’autres ouvrages d’art.
Recette
Foie de veau aux courgettes
Pour 4 personnes : 4 tranches de foie de veau – 1kg de courgettes – 3 échalotes – 3 gousses d’ail – 1 citron – 1 noisette de beurre – 1 cuill à soupe d’huile – Brins de ciboulette – 1 petit bouquet de persil – Thym – Laurier – Sel et poivre.
Faites chauffer dans une sauteuse le mélange de beurre et d’huile, et mettez-y à dorer les tranches de foie de veau, après les avoir salées et poivrées. Laissez-les cuire 5 minutes sur chaque face.
Pendant ce temps, épluchez les courgettes à l’aide d’un couteau économe, et détaillez-les en fines lamelles.
Quand les tranches de foi ont pris couleur, ôtez-les de la sauteuse et réservez-les au chaud. Jetez les rondelles de courgettes dans la graisse de cuisson, ajoutez les échalotes hachées, les gousses d’ail pilées, un peu de thym, laurier émietté. Arrosez avec un jus de citron, salez et poivrez, et laissez cuire 25mn, récipient couvert.
Passé ce temps, disposez les tranches de foie sur un plat de service chaud, et entourez la viande de la garniture de courgettes. Hachez sur le tout un peu de persil et de ciboulette, et servez chaud.
- Chérie tu peux ouvrir les yeux.
La surprise fut grande et à la hauteur de son étonnement. Elle se leva et sans discontinuer le couvrit de baisers sur la bouche tout en murmurant.
- Où as-tu déniché cela ? C’est merveilleux, tu ne pouvais pas me faire plus plaisir. Je savais que cette photo existait, où l’as-tu trouvée ?
- C’est Muryelle, la jeune femme de la discothèque qui me l’a donnée. Elle devait t’en faire cadeau demain, mais notre petite scène de toute à l’heure a tout changé.
- Je suis désolée.
- Ce n’est pas grave, elle a tellement d’autres photos de toi.
- Comment cela d’autres photos ?
- Tout un porte documents. Pratiquement toutes les robes que tu as portées depuis tes débuts chez Yves Saint Laurent.
- Ce n’est pas croyable ce que tu me dis, j’ai hâte d’être à demain. Tu sais d’où elle détient ces photographies ?
- De sa mère qui t’admirait énormément. Bien que d’après ce qu’elle m’a dit elle ne t’ait jamais rencontrée. Elle te vouait, semble-t-il, un profond amour.
- Tu pourrais inviter également sa mère, dit Elayna.
- Ce n’est pas possible, elle est décédée l’année dernière.
- Ce n’est pas juste, elle devait être encore très jeune.
- Je pense bien, elle avait à peine quarante ans.
- Et son père ?
- Je ne sais pas, je ne lui ai pas demandé.
- C’est formidable, dit-elle toujours sous le coup de l’émotion. Tu ne m’en veux pas pour tout à l’heure, mais avoue que tu n’as pas été délicat en m’annonçant à brûle pourpoint ta rencontre avec Muryelle.