24 mars 2019

24 mars 1892

Découverte du bacille de la tuberculose

Le médecin et microbiologiste allemand Robert Koch   annonce à la société physiologique de Berlin   qu’il a découvert le  bacille  de la tuberculose  . Il démontre le caractère contagieux de ce que l’on considère alors comme « la maladie du siècle ».

24 mars 1934

Citroën présente sa traction avant

André Citroên   présente à un public de concessionnaires la dernière  voiture sortie de ses usines  du quai de Javel : la  » Traction   avant ». Conçue en un an par l’ingénieur André Lefebvre, la « Traction  »  sera plébiscitée par les Français pour son confort et sa tenue de route

Alice Sapritch  – décédée le 24 mars 1990

Coquine douairière exécutant le plus mémorable strip-tease du cinéma français  face à un  Yves Montand  estomaqué, ou inquiétante en  Marie Besnard  drapée de noir,  Alice Sapritch  a su passer avec aisance de la  comédie   à la tragédie, tout en traversant la vie avec ce sens unique de la dérision qui la caractérisait tant.

 Fête à souhaiter : SAINTE KARINE

Nous fêtons KARINE, mais aussi Oscar et Kittie. Karine est une variante nordique de Catherine, qui devient Karen, puis Karine en français. Karen triomphe aux Etats-Unis dans les années 1940. La Grande-Bretagne prend ensuite le relais et la France le découvre en 1965. Karine reste pendant près de cinq ans dans le top 50 des prénoms féminins au cours des années 1970

Histoire

Au cours d’une visite des auberges du littoral Vendéen, les gendarmes en mars 1908, ont surpris dans celle tenue par un honnête aubergiste, un individu étranger au pays et porteur d’un sac volumineux. Invité d’en faire connaître le contenu, cet individu âgé de 39 ans, exhibait aux gendarmes 230 paquets d’allumettes.

Les allumettes furent saisies et le colporteur fut arrêté sur-le-champ, avant d’être conduit devant M.le Procureur de la République qui le fit écrouer.

Recette

Crème à la banane

Pour 6 personnes : 1 banane – 100g de sucre semoule – 1 pincée se sucre vanillé – 1 gousse de vanille – 3 œufs entiers – 3 jaunes d’œufs – 1 noisette de beurre – 1 cuill à soupe de rhum – ½ litre de lait écrémé.

Versez le lait dans une casserole, ajoutez la gousse de vanille fendue, portez à ébullition. Puis ôtez le récipient du feu, couvrez, et laissez infuser quelques minutes la vanille dans le lait.

Mettez les œufs entiers et les jaunes dans une terrine, ajoutez le sucre semoule, la pincée de sucre vanillé, et fouettez la préparation jusqu’à ce qu’elle blanchisse.

Versez dessus le lait chaud – après avoir retirer la gousse de vanille – en fouettant le mélange.

Epluchez la banane, écrasez-la soigneusement à la fourchette pour la réduire en purée.

Incorporez cette purée de banane à la préparation, ajoutez un peu de rhum. Remuez soigneusement le tout.

Beurrez très légèrement un moule à hauts bords et garnissez-le de la préparation. Disposez ce moule dans un récipient allant au four, rempli d’eau chaude, en veillant à ce que ce dernier soit d’une hauteur au moins égale au moule contenant la crème, et ce afin que la crème puisse entièrement cuire au bain-marie.

Placez le tout au four et mettez à cuire doucement une trentaine de minutes.

Quand la crème est cuite, laissez-la refroidir complètement avant de le démouler sur un plat de service.

Coupez une rondelle de banane que vous déposerez sur la crème de banane.

 

. Il attendit quelques minutes. Il scruta la pièce. Yona n’était pas là.

Elayna avait fini sa douche. Elle endossa un peignoir jaune pamplemousse, et se posta debout face à la vasque du lavabo blanc écru de la salle de bain. Elle fixait le miroir et vit dans son dos Jean-Bernard s’approcher.

Elle ne se retourna pas. Il se posta derrière elle, glissa une main sous le peignoir et caressa un sein ferme. De l’autre main, il défit la cordelette retenant les deux pans du peignoir qui s’ouvrirent, et l’ensemble glissa le long du  corps jusqu’à terre. Jean-Bernard se colla à elle, l’entoura de ses bras, lui effleura les mamelons des seins pointés de désir, et délicatement entreprit une caresse à laquelle Elayna n’avait jamais pu résister. Elle ondula harmonieusement des hanches et d’une main chercha la fermeture à glissière du pantalon, la fit glisser et invita le sexe en érection de son compagnon à se libérer d’un slip devenu gênant. Le sang de Jean-Bernard battait ses tempes et il ne pensait plus qu’à ce corps collé contre le sien, consentant, prêt à l’accueillir.

En un tour de main il baissa son pantalon. Ses mains descendirent le long de ses flans, s’accrochèrent à la taille toujours aussi fine, la tira vers lui par les hanches pour que la chute de ses reins se cambrent. Elayna retint son souffle, s’arc-bouta, s’appuya les bras tendus sur le bord de la vasque, releva la tête, bomba la poitrine qui accentua magistralement la courbure de ses reins.