10 mars 2019

10 mars 1876

Première conversation téléphonique

L’Américain Alexandre  Graham Bell   effectue le premier appel   téléphonique à  Boston   avec l’aide de son assistant Thomas Watson

.10 mars 1911

La France adopte l’heure de Greenwich

 Paris  accepte d’aligner son heure légale sur celle du méridien de Greenwich  . Ainsi tous les pays  d’Europe  occidentale se réfèrent au même fuseau horaire. Pour les Français la nouvelle heure retarde de 9 minutes et 21 secondes sur l’ancienne

Arthur – né le 10 mars 1966

Ancien étudiant en droit, Arthur   entame sa carrière médiatique   à la radio en 1987 sur Skyrockpuis sur Fun Radio  . Cinq ans plus tard, il perce dans lemonde télévisuel en animant sur TF1  » l’émission impossible »   ‘. Son parcours ne s’arrête pas là puisqu’il devient en 1994 le PDG de Case Production .


 

 Fête à souhaiter : Vivien

L’un des 40 martyrs de Sébaste (Arménie)

L’Eglise honore aujourd’hui les « Quarante Martyrs » soldats de l’Empereur romain Lucinius, qui en 320 refusèrent de sacrifier aux dieux païens. Après avoir été torturés, ils furent jetés sur un étang gelé. L’un d’entre eux parvint à s’échapper mais l’un des gardiens prit sa place.

Intéressant, non ?

L’emploi du pronom indéfini ..

Il était une fois quatre individus qu’on appelait TOUT le MONDE, QUELQU’UN, CHACUN, et PERSONNE.

Il y avait un important travail à faire, et on a demandé à TOUT le MONDE de le faire.

TOUT le MONDE était persuadé que QUELQ’UN le ferait.

CHACUN pouvait l’avoir fait, mais en réalité PERSONNE ne le fit.

QUELQ’UN se fâcha car c’était le travail de TOUT le MONDE !

TOUT le MONDE pensa que CHACUN pouvait le faire

Et PERSONNE ne doutait que QUELQ’UN le ferait.

En fin de compte, TOUT Le MONDE fit des reproches à CHACUN

Parce que PERSONNE n’avait fait ce QUELQ’UN aurait pu faire.

Moralité : Sans vouloir le reprocher à TOUT le MONDE,

Il serait bon que CHACUN fasse ce qu’il doit sans nourrir l’espoir que QUELQ’UN le fera à sa place.

Car l’expérience montre que là où on attend QUELQ’UN, généralement on ne trouve PERSONNE

Recette

Salsifis en robe

Pour 4 personnes : 1kg de salsifis – 250g de farine – 1 cuill à soupe d’huile – 2 cuill à soupe de vinaigre – 1 œuf entier – 2 blancs d’œufs – 1 citron – 1 bain de friture – Sel et poivre.

Mettez 200g de farine dans un saladier. Creuser un puits et versez-y la cuillérée à soupe d’huile, l’œuf, 1 pincée de sel et 3dl d’eau tiède. Délayez bien la farine pour obtenir une pâte claire. Laissez reposer 2 heures.

Pendant ce temps, grattez soigneusement les salsifis, coupez les extrémités, et détaillez-les en tronçons de 5 à 6 centimètres. Plongez les légumes dans de l’eau froide additionnée d’un peu de vinaigre. Laissez quelques instants avant de bien les laver dans l’eau vinaigrée. Égouttez.

Dans une grande casserole, délayez 2 bonne cuillérée de farine dans 2 litre d’eau chaude, et ajoutez le jus d’un citron, afin de confectionner un blanc. Salez et poivrez.

Portez le liquide à ébullition et mettez-y à cuire les salsifis 1 bonne heure. Puis égouttez-les et laissez refroidir.

Fouettez les blancs d’œufs en neige très ferme, et incorporez-les à la pâte au moment de son utilisation.

Trempez les tronçons dans la pâte à beignets, puis plongez-les au fur et mesure dans le bain d’huile bouillante. Quand ils sont bien dorés, sortez-les à l’aide d’une écumoire et mettez-les à égoutter sur du papier absorbant.

Dressez les beignets chauds sur un plat de service et servez immédiatement.

 

 

  • Il reprendra contact avec moi, début juillet, pour

envisager une tournée dans

les discothèques. C’est ce qu’il m’a dit.

  • C’est super. C’est la gloire, dit Jean-Bernard ravi pour elle.
  • Je sais c’est vraiment super, mais cela va me causer quand même quelque problème. Ce sera une nouvelle vie et je ne sais pas si j’y suis prête. Et puis il y a le magasin.
  • Ne tant fait donc pas à l’avance, tu verras bien. De toute façon dans l’immédiat cela ne peut être que pour la tournée des fêtes de fin d’année.
  • Tu as certainement raison, dit-elle réconfortée. Et toi, je ne t’ai pas demandé comment tu allais ?
  • Merci tu es gentille. Ça va.

Jean-Bernard la regardait attentivement, presque amoureusement. Il ne voulait pas se l’avouer, mais il était en admiration. Son charme juvénile le remplissait de bonheur et il éprouvait les mêmes sentiments d’un père envers sa fille.

  • Tu as reçu la pochette ?
  • Oui, ce matin comme prévu. Je ne l’ai même pas encore déballée, répondit-elle.

Machinalement Jean-Bernard regarda sa montre. Il lui restait à peine douze minutes pour aller à la cité judiciaire. Il s’excusa de ne pouvoir rester plus longtemps et l’embrassant il dit.

  • Je repasserai dans une heure. Tu me feras voir la pochette et si tu veux on déjeune ensemble. D’accord ?
  • D’accord, je t’attends.