1 janvier 2019

1 janvier 47 avant JC

Jules César rencontre Cléopâtre

Jules César poursuit Pompée en Egypte et apprend son assassinat    L’événement le rend amère vis-à-vis du  Pharaon Ptolémée  XIII, alors en conflit avec sa sœur-épouse  Cléopâtre  . Lorsqu’il la rencontre, le général romain est tout de suite séduit par la reine égyptienne. Après que ses armées   ont vaincu celles du  Pharaon César   donne le trône d’Egypte à  Cléopâtre   Ils auront un fils.

 

1 janvier 1771

Naissance de Georges Cadoudal

Georges Cadoudal général chouan   , naît le 1er janvier 1771. Grande figure de la contre-révolution   , il fut commandant de l’Armée catholique et royale de Bretagne .

 

1 janvier 1938

Création de la SNCF

Suite au protocole d’ accord  signé le 31 août 1937 entre l’Etat  et les 5 grandes compagnies de chemin de fer, la Société Nationale de Chemin de Fer est officiellement constituée.

1 janvier 1999

L’Euro entre en vigueurLa  Monnaie  unique européenne adoptée par onze des quinze pays de l’ Union fait son entrée officielle sur les marchés financiers. Dans le quotidien   des européens l’entrée en vigueur de l’Euro  ne vient pas troubler leurs habitudes de Consommation   . Ils voient seulement apparaître le double étiquetage des prix et une colonne en euros    sur leurs relevés bancaire.

Ce n’est qu’à partir du 1er janvier 2002 que la Monnaie    européenne fera son apparition    dans les portefeuilles européens. Elle sera très bien accueillie par les  bourses  européennes et asiatiques à partir, à tel point que les spécialistes parleront d' »europhorie ».

 

 Fête à souhaiter : JOUR de L’AN – MARIE mère DE DIEU – SAINTE EUPHROSINE

Marie mère de dieu

C’est Pie XI en 1932 qui institua d’abord la fête de Marie mère de Dieu le 11 octobre . Puis, la solennité de Marie mère de Dieu le 1er janvier a remplacé la cérémonie de la circoncision de Jésus. La solennité de Marie mère de Dieu a été introduite par la réforme liturgique consécutive au concile Vatican II.

La date de la solennité de Marie mère de Dieu est donc le premier janvier, huit jours après Noël, depuis la réforme liturgique.

La date de la fête de Marie mère de Dieu a été déplacée pour la mettre en relation avec la naissance de Jésus à Noël. La nouvelle date de la célébration de la fête de Marie mère de Dieu le 1er janvier jour de l’an, met aussi en valeur la célébration de la Solennité. C’est un aspect de l’histoire religieuse du premier janvier.

Nous fêtons les EUPHROSINE, mais aussi Concorde et Télémaque. EUPHROSINE remonte à l’antiquité grecque, il signifie « la joie de vivre ». C’était l’une des trois grâces. Avec ses sœurs Aglaé, et Thalie, elles personnifiaient une vie accomplie : l’abondance, la beauté et la joie de vivre. Actuellement c’est un prénom rare !

Tel jour Brice (13 novembre – très beau temps soleil – petit vent) , tel premier janvier.

A l’an neuf, les jours croissent du saut d’un bœuf.

Jour de l’An chaud, mois d’août chaud.

Au premier janvier, fais attention au vent qui souffle, il soufflera la moitié de l’An.

Au premier de l’an, fais deux crêpes pour avoir de l’argent.

Des sourires, pour chasser la tristesse,
De l’audace, pour que les choses ne restent jamais en place,
De la confiance, pour faire disparaître les doutes,
Des gourmandises, pour croquer la vie,
Du réconfort, pour adoucir les jours difficiles,
De la générosité, pour le plaisir de partager,
Des arcs en ciel, pour colorer les idées noires,
Du courage, pour continuer à avancer !

Bonne Année  2019

 

Pourtant par tradition, nous terminons la fin des années par un réveillon (repas, agapes, gueuletons) pour enterrer les mauvais moments passés, tous les ennuis qui nous assaillent journellement et aussi pour prendre de bonnes résolutions pour l’année nouvelle.

Mais le premier janvier, fait que pour la plupart d’entre-nous, nous la commençons par une flemme généralisée (grasse matinée, jeun, comprimés) alors que nous devrions tous nous retrousser les manches pour que ce jour là nous apporte pour toute l’année, santé, bonheur, argent et beaucoup d’amour.

Recette

Omelette norvégienne

Pour 8 personnes : 200g de sucre – 180g de farine – 100g de beurre – 20g de fécule – 6 œufs entiers – 3 blancs d’œufs – 1 pincée de vanille en poudre – 1 litre de glace – 1 verre de liqueur de kirsch – 1 verre de rhum – 3 cuill à soupe de sucre glace.

Préparer une génoise comme suit : dans une casserole versez la moitié du sucre avec 3 œufs. Battez sur feu doux à l’aide d’un fouet. Incorporez l’un après l’autre les 3 œufs restants et ajoutez la pincée de vanille.

Prolongez cette opération jusqu’à cette préparation monte.

Retirez alors la casserole du feu, continuez à battre, et incorporez par petites doses la farine, puis la fécule, et le beurre fondu froid.

Beurrez une plaque à gâteau  de forme rectangulaire. Versez la pâte sur une épaisseur de 1.5 à 2cm. Mettez à four moyen 15 mn.

Disposez la génoise sur un plat en métal allant au four. Imbibez la pâte avec le kirsch.

Battez en neige très ferme les blancs d’œufs et incorporez le restant du sucre en le versant en pluie sur les œufs. Mélangez délicatement, sans battre, la meringue avec une cuillère en bois.

Placez la glace sur la génoise, centrez-la afin que les bords du biscuit dépassent tout autour.

Recouvrez le tout de meringue, en vous servant d’une poche à douille et saupoudrez de sucre glace.

Mettez à four très chaud et laissez la meringue cuire environ 2 minutes, jusqu’à ce qu’elle prenne une belle teinte dorée.

Sortez l’omelette norvégienne du four, arrosez-la avec le rhum préalablement chauffe, et faites flamber devant les convives.

Il sortit du bâtiment, s’arrêta un instant pour respirer un bon coup. Bien qu’il fasse chaud et que le début de l’été était officiellement que la semaine prochaine, le peu d’air ambiant, le revivifia. Il regagna son véhicule, et au moment où il actionnait la clé magnétique de l’ouverture des portes,

Maître Christyne Jaque, son conseiller, le croisa.

  • Maître !

Surprise, l’avocate stoppa et se retourna.

  • Maître, vous vous souvenez de moi, Jean-Bernard Géraud. Vous m’aviez brillamment défendu en novembre 1992, il y a six ans à Paris.
  • Oui, dit-elle, aimablement. Je me souviens. Comment allez-vous ?

  • Bien merci. Mais cela pourrait aller mieux. Je viens d’être convoqué par le nouveau juge de l’application des peines, et elle me cherchent des poux dans la tête.
  • Ah bon ! Dit-elle surprise. Si ma mémoire ne me fait pas défaut, il vous reste …

Elle réfléchit et poursuivit.

  • Il vous reste cinq mois de mise à l’épreuve. Que ce passe t-il ?
  • Est-ce que je pourrais vous en parler ?

Elle regarda sa montre et visiblement embarrassée, suggéra.

  • Venez me rejoindre demain à onze heures trente, au Palais.
  • Certainement, à quel endroit ?
  • Au deuxième sous-sol,
  • à la cafétéria. Nous y serons tranquilles pour parler.
  • Très bien, à demain, remercia Jean-Bernard.