27 décembre 2018

 

27 décembre 1822

Naissance de Louis Pasteur

 

Louis Pasteur  naît le 27 décembre 1822 à Dole. Il est très célèbre pour ses activités de scientifique, de chimiste, de physicien mais aussi de microbiologiste.
Il est détenteur de deux baccalauréats, un en lettres et un second en sciences  mathématiques  . Admis en quatrième position à l’Ecole normale, il poursuit ses études au Conservatoire national des arts et métiers.
En 1853, il est chevalier de la Légion d’Honneur   . Trois ans plus tard, il est chargé de la direction des études de l’Ecole normale supérieure.
En 1878, il est nommé grand-officier de la Légion d’Honneur    S’en suit alors, en 1881, le premier vaccin  contre la maladie du charbon pour le mouton. Une grande partie de ses recherches se déroulera sur les maladies touchant les moutons, les poules et les cochons. En 1881, il trouve un vaccin    pour lutter contre la rage
Ce n’est qu’en 1885 qu’il débute ses premiers tests sur des êtres humains.
Le 14 novembre 1888, le célèbre  institut Pasteur r ouvre ses portes. Après une carrière très remarquée Louis Pasteur ,   meurt le 28 septembre 1895, à l’ âge   de 72 ans.

27 décembre 1945

Création du F.M.I

Suite à la conférence   monétaire et financière des Nations Unies de Bretton Woods en juillet 1944 le Fonds Monétaire international   est créé pour reconstruire l’ Europe   dans un premier temps, puis pour assurer un développement harmonieux dans le monde . L’organisation internationale sera homologuée par l ONU.

Fête à souhaiter : Jean évangéliste

« Le disciple que Jésus aimait et qui pendant la Cène, reposa sur la poitrine de Jésus », écrivit un Evangile, trois Epitres et l’Apocalypse ; il fut le dernier des apôtres à mourir et le seul à ne pas disparaître de mort violente.

Pluie d’hiver à la Saint-Jean enlève noisettes et glands.

Il fera le même temps en Février.

Histoire

Aux confins de la Bretagne et de l’Anjou, dans le bois de Cormillé, est un tombeau mystérieux. Il porte l’inscription ; « Honneur à celui qui est mort pour Dieu et pour son Roy, 1794 ». Dans le pays, on l’appelle la « Tombe de l’Emigré », mais on raconte aussi qu’y serait enterré une évêque qui mourut là, après avoir fui les Bleus dans ses habits épiscopaux. Longtemps ce lieu conserva un caractère magique et les « filles à marier » y déposaient en secret des petites croix en brindilles pour trouver un époux.

La bûche de Noël  (suite)

La bûche est encore utilisée sous forme de charbon : « De la bûche, conseillait-on dans l’Albert (80), gardez le reste ; neuf dimanche de suite, mettez ce reste au feu pendant la messe. Alors le charbon de cette bûche, vous le mettrez en poussière pour le faire prendre avec de l’eau aux vaches, aux brebis pleines ; elles n’avorteront pas «. En poudre, le charbon assure la fertilité des champs ; préserve la semence du « charbouillage », fait obtenir des agneaux et des cochons noirs.

Recette

Cornets de Jambon macédoine

Pour 4 personnes : 2 tomates – 4 tranches de jambon – 1 boite et demie de macédoine – 1 pot de fromage blanc – 4 œufs – 1 laitue – persil – Ciboulette – Sel et poivre.

Faites durcir les œufs à l’eau bouillante 12mn. Passez-les sous l’eau froide, écalez-les.

Plongez les tomates quelques minutes dans l’eau bouillante afin de les éplucher plus facilement. Coupez-les en petits dés.

Lavez un peu de persil et de ciboulette. Hachez finement ces herbes ensemble.

Egouttez le contenu de la boite de macédoine dans une passoire, après l’avoir passé sous l’eau froide. Puis mettez la macédoine à sécher sur un torchon ou sur du papier absorbant.

Versez le fromage blanc dans une terrine, battez-le quelques instants au fouet pour l’aérer, et ajoutez-y la macédoine, les tomates, le hachis de persil et de ciboulette. Salez et poivrez, mélangez bien le tout. Façonnez les tranches de jambon en cornets, et garnissez-les de cette préparation.

Sur un plat de service préalablement tapissé de feuilles de laitue, disposez au mieux les cornets de jambon, ainsi que les œufs coupés par le milieu.

Salez et poivrez.

Servez.

Surprise et décontenancée, le juge se leva et se posta à la gauche de son bureau. Pour la première fois depuis le début de l’entretien, elle fixa effrontément Jean-Bernard.

Il en profita pour la déshabiller des yeux. Un mètre soixante-dix avec des talons compensés, mince, mais pas assez pour dire qu’elle était maigre. Elle portait une jupe droite grise, un corsage jaune bouton d’or et une veste croisée verte foncée. Le teint blafard de son visage piriforme, faisait ressortir des cernes profonds autour des yeux qui accentuaient la pâleur caractéristique des rouquines couvertes d’éphélides plus ou moins rapprochées. Ses cheveux longs, qui à l’origine étaient roux, étaient décolorés en noir. Tout ce qu’il y a de plus noir,

un noir de corbeau, de jais, lui donnant un comportement Ivre de rage, elle lui ordonna de présenter une pièce d’identité.

 

Jean-Bernard s’exécuta et lui remis son passeport.

  • Vous n’avez pas de carte d’identité ?

Sans l’ouvrir, elle le remit à la conseillère, qui à voir l’air qu’elle prenait, était aucunement surprise de la bévue qui venait de se produire. Elle se leva.

  • Faites-moi une photocopie, commanda-t-elle.
  • Tout de suite, Madame le Juge.