23 décembre 2018
23 décembre 1947
Invention du transistor
Trois ingénieurs américains des laboratoires Belle , John Bardeen, Walter Brattain et William Schockley présentent leur nouvelle invention, le transistor Le dispositif permet de détecter et d’amplifier les courants électriques. Le transistor est aussi capable de produire des ondes électromagnétiques à ultra-haute fréquence. Les trois inventeurs recevront le prix Nobel de physique pour leur invention en 1956.
23 décembre 1971
Sortie de l’inspecteur Harry
Sortie américaine de L’Inspecteur Harry de Don Siegel. Le Film d’une extrême violence pour l’époque, fait scandale . On reproche à Harry Callahan, flic et héros de l’histoire, ses méthodes expéditives. Longtemps, Clint Eastwood traînera la réputation de ce rôle, le public l’assimilant à ce personnage charismatique mais moralement douteux. Ce qui ne l’empêchera pas de poursuivre sa collaboration avec Don Siegel ( 5 films) en commun , près duquel il apprendra son métier de réalisateur.
Fête à souhaiter : Armand
Fut évêque de Brixen en Italie du Nord. Franciscain d’origine hollandaise, il mourut en 1165.
Histoire
A Mortagne Louis XI « qui ne perdait pas une occasion de courre le cerf ou rangiers », fut victime d’un accident de chasse qui faillit lui coûter le vie. Il était en compagnie de moines de la riche et célèbre abbaye de Saint-Michel en l’Herm et forçait un sanglier de forte taille et bien armé. L’animal fut blessé par le roi et s’en prit à son cheval qu’il renversa.
Le cavalier, immobilisé sous sa monture contre laquelle s’acharnait le fauve était en bien mauvaise posture, lorsqu’intervint le prieur du monastère, Dom Nicolas Séguin. Le religieux excellent veneur au demeurant, mit pied à terre, voua le Roi à Saint-Michel et servit le sanglier d’un coup d’épieu. Louis XI, en reconnaissance de ce geste, remit 200 marcs d’argent à l’abbaye pour la fondation d’un anniversaire de l’événement chaque 23 décembre et la réalisation d’un bas relief d’albâtre où serait représenté un archange terrassant un sanglier. De plus il fit cadeau au monastère du collier de l’Ordre de Saint-Michel qu’il portait au cou mors de l’incident.
Recette
Boudin noir aux deux purées
Pour 2 personnes : 2 morceaux de boudin noir – 2 grosses pommes de terre – 1 verre de lait – 10 grammes de beurre – 1 pointe de muscade – 2 petites branches de thym – 2 pommes –Sel et poivre.
Epluchez les pommes de terre, lavez-les, coupez-les en morceaux puis faites-les cuire à l’eau bouillante pendant 20 minutes, puis égouttez-les. Versez le lait sur les pommes de terre, écrasez-les à l’aide d’une fourchette jusqu’à l’obtention d’une purée puis ajoutez le beurre, salez, poivrez, ajoutez une pointe de muscade et mélangez.
Epluchez les pommes, coupez-les en quatre, ôtez les pépins puis coupez-les en morceaux et faites-les cuire dans une petite casserole avec 2 cuillères à soupe d’eau. Mélangez de temps en temps et laissez mijoter jusqu’à ce que les pommes soient réduites en purée.
Pendant ce temps, déposez les morceaux de boudin noir dans une poêle antiadhésive et laissez cuire à feu moyen 5 minutes de chaque côté.
Dressez les assiettes, déposez au centre de chacune d’elles, un morceau de boudin noir, ajoutez une cuillère à soupe de purée de pommes puis une cuillère à soupe de purée de pommes de terre puis ajoutez une branche de thym.
Sans aucune objectivité, il expliquait, défendait son point de vue avec beaucoup de conviction. Puis le narrateur présentait le
nom du saint du jour. Germaine Cousin, jeune handicapée physique née à Pibrac en Haute-Garonne en 1579, privée d’affection, qui passa sa vie avec ses moutons, à rendre service et à prier, était aujourd’hui la vedette. On la retrouva, compléta le chroniqueur, morte en 1601, un beau matin d’été. Il existe aujourd’hui encore un pèlerinage à son tombeau.
Le bâtiment abritant le Palais de Justice, regroupant le Tribunal de Grande Instance, le Tribunal de Commerce et mise en service. Situé dans un quartier populaire, il dénotait étrangement de par sa conception ultra-moderne.
Se voulait-il rassurant ?
Jean-Bernard stationna à proximité, et se dirigea vers le hall d’entrée. Il y venait mensuellement, sans convocation particulière, déposer auprès d’un conseiller d’insertion, le règlement destiné à la partie civile, à la suite d’une condamnation. Depuis l’année précédente, Madame Lamoste, juge de l’application des peines, ne l’avait jamais plus convoqué officiellement.