30 novembre 2018

30 novembre 1789

La Corse devient Française

A l’Assemblé Constituante  le député Corse   Antoine-Christophe Salicetti déclare « La Corse    fait partie intégrante de l’ empire   français ». L’île qui était jusqu’alors une province autonome, est rattachée à la France. En 1790, la Corse   deviendra un département.

30 novembre 1900

Commercialisation du « Meccano »Inventé par le britannique Franck Hornby en 1899, le meccano est mis en vente en Angleterre   . C’est en cherchant un cadeau inventif à faire à ses  enfants pour Noël  que Franck Hornby eu l’idée de mettre au point un jeu de construction en métal. La première création   qu’il réalisa était une grue.

30 novembre 1900

Oscar Wilde, dont le nom complet est Oscar Fingal O’Flahertie Wills Wilde, est un écrivain irlandais né à Dublin le 16 octobre 1854 et mort à Paris

Le polyphone

Jusqu’au phonographe d’Edison, le polyphone instrument à lames vibrantes, est le seul appareil de musique automatique à usage privé. Fabriqué par des horlogers suisses, il fait son apparition dès le début du 19°siècle. La partie sonore est constituée par un peigne d’acier composé d’autant de dents, au moins, musicale. Celles-ci sont ébranlées par un cylindre mélodique porteur de pointes, tourné manuellement à l’aide d’une manivelle, ou par un mécanisme à ressort. Le meuble en bois sert de caisse de résonnance. Aujourd’hui ces instruments ne sont plus guère fabriqués qu’aux Etats-Unis.

 Fête à souhaiter : André

Apôtre martyre du 1er siècle, fut d’abord le disciple de Saint Jean-Baptiste, puis Jésus, et lui amena plus tard son frère Simon-Pierre, pêcheur comme lui dans le lac de Tibériade et prêcha la bonne parole dans une partie de la Grèce. Il fut crucifié à Patras vers 69 sur une croix d’une forme spéciale et qui porte désormais son nom.

Quand l’hiver n’est pas pressé, à peine à Saint André est-il arrivé.

Saint André apporte la gelée.

Le seigle de la Saint André ne sort qu’à Noël arrivé.

La neige de Saint André menace cent jours d’hiver.

A la Saint André, la nuit l’emporte sur le jour qui suit.

Légende

La cabane de Soulisse au bas de l’île d’Elle recevait toutes les nuits la visite d’une « bigourne ». Les habitants du lieu, une famille charitable qui savait que cette créature barbue aux cornes de bouc était un être humain « enjominé », la prenait en pitié et la laissait en paix monter et descendre indéfiniment ses escaliers. Un jour, un valet décida de mettre fin à la nuisance et tua la « bigourne ». En mourant elle prit la forme d’une belle jeune fille richement parée. On l’enterra sous un tas de bois.

Longtemps pus tard, de riches bourgeois de Niort, à la recherche  d’une « belle fille couverte de bijoux » se présentèrent à la cabane. Tandis que le valet prenait un air surpris pour expliquer qu’il n’avait jamais vu « nulle demoiselle ainsi vêtue », le chien qui accompagnait les visiteurs découvrit la fosse. Les bourgeois emmenèrent avec eux la dépouille de la jeune fille. C’était leur fille.

La troisième guerre de Vendée à Chambretaud

Voici le compte rendu dressé par l’agent municipal de la commune en dernière page du registre d’état civil pour l’année 1799 :

« Le dix-huit novembre mil sept cent quatre-vingt-dix-neuf, sur les onze heures du matin, au lieu et environ du calvaire, près la métairie de la Grange de cette paroisse, il s’est fait une attaque d’un combat entre l’armée des républicains cantonnés aux Herbiers et l’armée des insurgés surnommés les Chouans (6), dont M. La Roche Saint-André, de la Gastière (7), et M. Grignon, de Pouzauges, étaient commandants.

Il n’existe aucun souvenir de cette bataille à Chambretaud, si ce n’est une rue et une impasse des Chouans. Le calvaire paroissial, près duquel se déroula le combat se dresse au bout de la rue du Calvaire. Plusieurs croix se succédèrent à cet endroit depuis la Révolution. Le monument actuel fut érigé en 1930 et béni le jour de la clôture de la mission, le dimanche 2 novembre de cette année.

Recette

Grondin en cocotte

Pour 4 personnes : – 4 grondins parés et coupés en tronçons par le poissonnier – 4 carottes moyennes – 4 échalotes – 2 bulbes de fenouil – 1 citron non traité – 50 cl de vin blanc sec – 5 cuillères à soupe d’huile d’olive

  • Laver les légumes, découper le fenouil
    en quartiers, couper les carottes pelées
    en rondelles et émincer les échalotes pelées.
  • Verser l’huile d’olive dans la cocotte, ajouter
    les légumes, mélanger et laisser cuire
    15 minutes à couvert.
  • Ajouter le poisson, le citron non pelé en rondelles et le vin blanc.
  • Saler, poivrer, mélanger et laisser cuire encore
    15 minutes à 180°C.
  • Servir chaud.

L’hélicoptère commençait à amorcer une descente verticale lente et à l’approche du béton, pivota sur la gauche pour rester en apesanteur face au vent. A ce moment là, une rafale de vent déporta l’engin vers le  Bloc O13, qui obligea le professeur pour stabiliser l’appareil à effectuer un écart qui l’amena  à l’extrémité de la terrasse, coté tours.  Une fois stabilisé, Loïc débloqua  la porte droite, la fit glisser, et poussa son voisin hors de l’appareil et dit.

– Désolé Monsieur Gerhonteau,  avec toutes nos excuses pour le dérangement.

Maître Pervoneau avait suivi du bout de la lunette de son fusil. Sans hésitation, alors que l’adjoint au maire de Angles le masque toujours vissé sur la tête tombait lourdement sur le toit en béton et se blessait à la jambe droite, l’avocat  ajusta son fusil, enclencha une cartouche dans la culasse et appuya sur la gâchette.

Jean Gerhonteau était touché

l’épaule gauche. L’impact de la balle avait fait exploser littéralement toute l’articulation du bras. Il entendit l’hélicoptère de ses ravisseurs  passer au-dessus de lui, puis s’éloigner. Il perdit connaissance.

La détonation surpris les policiers qui suivaient attentivement en spectateur  le manège volant. Thierry Thiébeault  arrivait au même moment.

– On vient de tirer du haut d’une des tours, dit Fleury

– Vas-y  Hercule, prends trois hommes. Débrouille-toi pour monter là-haut.

Thierry garant son véhicule prés de l’armada de la gendarmerie vit arriver en courant Fleury et les quatre  policiers, alors qu’il mitraillait de son numérique, debout sur les sièges arrière de son cabriolet, l’hélicoptère sur toutes les coutures.

– Je peux vous accompagner ? demanda Thierry.

Bardé de

plusieurs appareils de photographie, il emboîta le pas à Fleury.