6 octobre 2018

A Versailles! Fut poussé par des milliers de voix La Fayette harangua le peuple, essayant de le détourner de son intention. Mais rien n’y fit et il dut se résigner, vers les quatre heures du soir, après avoir laissé passer le gros de la manifestation, à suivre le mouvement, en ayant toutefois la précaution de se faire accompagner par plusieurs bataillons.

Le matin du 6 octobre 1914, l’artillerie lourde allemande ouvre le feu sur la ville de Sedan. Ce ne sont là que des prémices des futurs bombardements. Le 7 octobre 1914, des obus incendiaires tombent sur le centre-ville. L’Hôtel de Ville est en flammes. Le 21 octobre 1914, de 10h30 à 11h20, le Beffroi est pris pour cible. En seulement 50 minutes, il est réduit en ruines. Du 5 au 7 juillet 1915, le palais et la cathédrale Saint-Vaast déjà touchés lors des bombardements du 6 octobre, sont à leur tour systématiquement pris pour cible. En deux jours, les obus ont raison de ces monuments, reconstruits au XVIIIe siècle par le cardinal de Rohan.

Les tabletiers sont autorisés depuis 1741 à fabriquer et vendre à l’exclusion de toutes autres sortes de jeux de tric-trac, damiers, échets, solitaires, trou-madame, quadrilles, et toutes sortes de dez d’yvoire, à faire, parfaire et enjoliver les dits jeux de toutes formes et modèles.

 

Fête à souhaiter : Bruno

Né à Cologne vers 1030, fit ses études à l’Université de Paris où il enseigna ensuite la philosophie. Devenu chanoine de Reims, l’avarice de l’Archevêché l’affligea et le poussa à se retirer dans la solitude. Il fonda au « désert de la Grande Chartreuse » l’Ordre des Chartreux, dont la règle, inspirée de saint Benoît, est l’une des plus strictes. Il fut appelé quelques temps à Rome par le pape pour y être son conseiller et obtint de se retirer au désert de la Tour ou il fonda un second monastère. Il y mourut en 1101.

A la saint Bruno, les feuilles tombent dans les bois.

A la saint Bruno, les faînes ont le bon noyau.

A la saint Bruno semé, noir sera le blé.

Histoire

Au moment où Charrette prit le commandement de la Basse-Vendée, Palvadeau membre de la municipalité de Barbâtre en accord avec une bonne partie de la population, prit contact avec le chevalier. Il fomentait le projet de livrer l’Île de Noirmoutier aux Vendéens avec la complicité de Wieland, commandant de la place.

Le plan fut monté. A mi-chemin du Goa, résonna un coup de canon, signal convenu que le complot était découvert. Il ne s’agissait que d’un accident survenu dans les rangs royalistes, mais qui remit la prise le l’île à plus tard.

Lorsque les Bleus s’en rendirent à nouveaux maîtres, ils passèrent par les armes tous ceux qui avaient facilité leur défaite. Palvadeau fut pris et fusillé.

 Recette

 Spaghettis aux pleurotes et au romarin.

 Pour 4 personnes : 450g de spaghettis – sel – 250g de pleurotes – 1 brin de romarin – 80g de beurre – 75g de parmesan – 2 cuill à soupe d’huile de colza.

Cuire les spaghettis dans de l’eau bouillante salée jusqu’à ce qu’elle soit al dente et égoutter en réservant 2 cuillérées d’eau de cuisson.

Brosser les champignons et émincer.

Laver le romarin, sécher et hacher finement les feuilles.

Mélanger les pâtes, le romarin, le beurre et l’eau de la cuisson réservée, saler et poivrer.

Râper le parmesan au dessus des pâtes et incorporer.

Répartir les pâtes dans des assiettes chaudes, garnir des pleurotes et arroser d’huile de colza.

Servir immédiatement.

– Ils ne pouvaient pas se rétablir, car ils étaient dans un état de déficience très prononcé. Nous avons fait tout ce que nous pouvions.

– Et celui qui est en vie ?

– Celui-ci est d’une meilleure constitution. Un roc de la nature. Il survivra, mais avec du temps.

– En ce qui concerne les opérations chirurgicales, peut-on assimiler ces actes à une faute professionnelle.

– Absolument pas. Ils ont subi  l’ablation d’une partie de leur foie et cela n’a put être pratiqué que par un spécialiste, sûrement pas par un charlatan.

– Par qui ?

– Aucune idée.  J’ai interrogé mes collègues par

Internet.

– Et ?

– Aucun d’eux n’a pratiqué cet acte dans les quinze jours.

– Alors ?

– Je ne sais pas. Vous avez sans aucun doute à faire avec un réseau d’opérations clandestines. Les corps ont été transférés à l’institut médico-légal.

– Professeur, l’albanais parle t-il français ?

– Il gémit surtout. Mais je ne suis pas sûr qu’il ne comprenne pas notre langue.

– Je vais lui poser seulement deux ou trois questions. Je ne serai  pas long.

Marie  précéda son patron dans la chambre 17. L’homme était allongé,  adossé à deux gros oreillers, ce qui lui donnait presque une position assise. Quand il vit les deux personnes devant son lit, il se renfrogna et bougonna.

– Bonjour,  dit le commissaire. Nous sommes  policiers et nous souhaiterions vous poser quelques questions. Par qui avez-vous été opéré ?